Lettre n° 7744
Par la grâce de D.ieu,
5 Elloul 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre de Roch ‘Hodech Elloul. En un moment propice, votre nom sera mentionné près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez. Vous comprendrez que j’ai été surpris, en lisant le début de votre lettre, faisant état de votre tristesse et de votre moral, qui n’est pas bon. Vous avez sûrement connaissance de ce qui est expliqué dans les saints livres, en différents textes et surtout dans la ‘Hassidout. Ces textes établissent la nécessité de rejeter résolument la tristesse. De fait, il est aisé de le comprendre car, au début du jour, on récite les bénédictions du matin. Encore avant cela, on dit le Modé Ani, “ Je Te rends grâce ” et le sens simple de ce terme suffit pour inspirer une joie immense, mais sûrement pas le contraire de cette action de grâce, ce qu’à D.ieu ne plaise. Pour quelqu’un comme vous, il est, à n’en pas douter, inutile d’en dire plus.
Bien plus, vous-même avez eu, dernièrement, le mérite de marier vos enfants, en un moment bon et fructueux. Et, l’on peut encore citer de nombreux autres éléments. Il faut donc espérer que ceci contribue à éclairer votre situation, à vous permettre de la percevoir telle qu’elle est réellement. Désormais, vous serez empli de joie et d’enthousiasme, comme nous l’ordonne notre sainte Torah, Torah de vie. Bien plus, nous nous trouvons actuellement pendant les jours favorables du mois d’Elloul, celui de la miséricorde et du bon vouloir. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
5 Elloul 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre de Roch ‘Hodech Elloul. En un moment propice, votre nom sera mentionné près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez. Vous comprendrez que j’ai été surpris, en lisant le début de votre lettre, faisant état de votre tristesse et de votre moral, qui n’est pas bon. Vous avez sûrement connaissance de ce qui est expliqué dans les saints livres, en différents textes et surtout dans la ‘Hassidout. Ces textes établissent la nécessité de rejeter résolument la tristesse. De fait, il est aisé de le comprendre car, au début du jour, on récite les bénédictions du matin. Encore avant cela, on dit le Modé Ani, “ Je Te rends grâce ” et le sens simple de ce terme suffit pour inspirer une joie immense, mais sûrement pas le contraire de cette action de grâce, ce qu’à D.ieu ne plaise. Pour quelqu’un comme vous, il est, à n’en pas douter, inutile d’en dire plus.
Bien plus, vous-même avez eu, dernièrement, le mérite de marier vos enfants, en un moment bon et fructueux. Et, l’on peut encore citer de nombreux autres éléments. Il faut donc espérer que ceci contribue à éclairer votre situation, à vous permettre de la percevoir telle qu’elle est réellement. Désormais, vous serez empli de joie et d’enthousiasme, comme nous l’ordonne notre sainte Torah, Torah de vie. Bien plus, nous nous trouvons actuellement pendant les jours favorables du mois d’Elloul, celui de la miséricorde et du bon vouloir. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,