Lettre n° 7747

Par la grâce de D.ieu,
10 Elloul 5721,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Vous connaissez la plaisanterie ‘hassidique suivante : “ le renoncement ne doit pas venir à l’esprit ”(1). Autre point, qui est essentiel, nos maîtres et chefs précisent la leçon qui est délivrée, pour l’ensemble des Mitsvot, par Pessa’h Chéni(2), comme le précise le Hayom Yom, à la date du 14 Iyar : “ Rien n’est jamais définitivement perdu ”. Je m’adresse donc à vous, encore une fois, pour le même objet.

Ce mois est propice puisque le Roi, Roi des rois, le Saint béni soit-Il, se trouve dans le champ et y accueille chacun avec bienveillance, comme l’explique le Likouteï Torah de l’Admour Hazaken, au début du discours ‘hassidique intitulé : “ Je suis à mon Bien-Aimé ”, à la page 32b. Puisse D.ieu faire que ceci soit efficace, dans ce domaine également. Le mérite de ce qui est public dépend de vous, de vos remarques et de vos directives. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,

Notes

(1) Cette affirmation est, de fait, une autre lecture d’un principe talmudique, “ le renoncement qui n’est pas conscient ”, selon lequel un homme pourrait être dépossédé d’un objet lui appartenant, qu’il a perdu, bien qu’il ne le sache pas encore, dès lors qu’on sait qu’il y renoncera quand il en apprendra la perte. Paraphrasant cette affirmation, la ‘Hassidout souligne que le découragement ne doit même pas venir à l’esprit.
(2) Qui fut offert par ceux qui n’avaient pas eu la possibilité de sacrifier le premier.