Lettre n° 7748
Par la grâce de D.ieu,
12 Elloul 5721,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Chmouel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 11 Elloul, avec votre demande de bénédiction, qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous me parlez de l’affection dont vous souffrez et du traitement que le médecin vous propose. Vous l’avez repoussé après le jour sacré(2), qui approche et vous me demandez s’il est possible de le fixer après la fête de Soukkot. S’il s’agit effectivement de l’affection que vous décrivez, cela importe peu et vous pouvez, sans difficulté, retarder ce traitement de deux semaines, conformément à votre souhait. Mais, bien entendu, la décision finale, en la matière, appartient au médecin, car “ la Torah a autorisé le médecin à guérir ”. A n’en pas douter, si vous lui en expliquez la raison, il vous l’accordera.
Vous avez sans doute connaissance de ce qui suit, mais j’ai jugé bon de vous l’écrire. Il est, en effet, différentes façons de subir ce traitement et le Choul’han Arou’h les distingue. Certaines sont permises, alors que d’autres…(3). Comme je l’ai dit, votre nom sera mentionné, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, pour tout ce qui vous concerne, en général, pour avoir une prompte et complète guérison, en particulier. En effet, ces jours sont ceux du mois d’Elloul, de la miséricorde et du bon vouloir, “ comme les premiers jours ”(4). Avec mes respects, ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Notes
(1) Le Rav C. Yalov. Voir, à son sujet, la lettre n°7074.
(2) Yom Kippour.
(3) Sont interdites. Il s’agit vraisemblablement d’une opération de la prostate.
(4) Avant que soit commise la faute du veau d’or.
12 Elloul 5721,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Chmouel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 11 Elloul, avec votre demande de bénédiction, qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous me parlez de l’affection dont vous souffrez et du traitement que le médecin vous propose. Vous l’avez repoussé après le jour sacré(2), qui approche et vous me demandez s’il est possible de le fixer après la fête de Soukkot. S’il s’agit effectivement de l’affection que vous décrivez, cela importe peu et vous pouvez, sans difficulté, retarder ce traitement de deux semaines, conformément à votre souhait. Mais, bien entendu, la décision finale, en la matière, appartient au médecin, car “ la Torah a autorisé le médecin à guérir ”. A n’en pas douter, si vous lui en expliquez la raison, il vous l’accordera.
Vous avez sans doute connaissance de ce qui suit, mais j’ai jugé bon de vous l’écrire. Il est, en effet, différentes façons de subir ce traitement et le Choul’han Arou’h les distingue. Certaines sont permises, alors que d’autres…(3). Comme je l’ai dit, votre nom sera mentionné, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, pour tout ce qui vous concerne, en général, pour avoir une prompte et complète guérison, en particulier. En effet, ces jours sont ceux du mois d’Elloul, de la miséricorde et du bon vouloir, “ comme les premiers jours ”(4). Avec mes respects, ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Notes
(1) Le Rav C. Yalov. Voir, à son sujet, la lettre n°7074.
(2) Yom Kippour.
(3) Sont interdites. Il s’agit vraisemblablement d’une opération de la prostate.
(4) Avant que soit commise la faute du veau d’or.