Lettre n° 7762
Par la grâce de D.ieu,
24 Nissan 5700(1),
A l’attention du distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
sage et avisé, ayant des traits de caractères
favorables, le Rav D. B.(2),
Je vous salue et vous bénis,
J’espère que, dans l’intervalle qui s’est écoulé depuis le dernier courrier que vous m’avez adressé, vous avez trouvé un moyen de gagner votre vie. Je serais heureux que vous me le confirmiez. Vous me direz également si les membres de votre famille ont pu vous rejoindre et si tout va bien. J’éprouve de la peine en constatant que, dans les courriers que l’on nous adresse, on réduit à leur plus simple expression les nouvelles concernant l’état de santé de mon beau-père, le Rabbi Chlita. Je m’adresse donc à vous en vous priant instamment de m’écrire de façon détaillée, à ce sujet. Vous me décrirez la situation telle qu’elle est réellement. Je suis persuadé que vous accèderez à ma requête et je n’en dis donc pas plus. D’avance, je vous remercie chaleureusement.
A n’en pas douter, on retranscrit actuellement les causeries de mon beau-père, le Rabbi Chlita, dans votre ville. Peut-être est-il possible de m’en adresser une copie ici, de même que le texte de ce qu’il a dit, à propos de la bénédiction du Gomel(3), quand vous vous êtes rencontrés au port(4) et la description de ce qui s’est passé pendant la fête de Pessa’h. Je conclus en vous souhaitant tout le bien et dans l’attente de votre réponse sur tout cela, en vous en remerciant par avance,
M. Schneerson,
Notes
(1) 1940.
(2) Le Rav Dov Ber ‘Haskind. Voir, à son sujet, les lettres n°687 et 7801.
(3) L’action de grâce prononcée par celui qui bénéficie d’un bienfait.
(4) Voir, à ce propos les Iguerot Kodech du précédent Rabbi, tome 5, lettre n°1165 et le Séfer Ha Si’hot été 5700, à la page 1.
24 Nissan 5700(1),
A l’attention du distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
sage et avisé, ayant des traits de caractères
favorables, le Rav D. B.(2),
Je vous salue et vous bénis,
J’espère que, dans l’intervalle qui s’est écoulé depuis le dernier courrier que vous m’avez adressé, vous avez trouvé un moyen de gagner votre vie. Je serais heureux que vous me le confirmiez. Vous me direz également si les membres de votre famille ont pu vous rejoindre et si tout va bien. J’éprouve de la peine en constatant que, dans les courriers que l’on nous adresse, on réduit à leur plus simple expression les nouvelles concernant l’état de santé de mon beau-père, le Rabbi Chlita. Je m’adresse donc à vous en vous priant instamment de m’écrire de façon détaillée, à ce sujet. Vous me décrirez la situation telle qu’elle est réellement. Je suis persuadé que vous accèderez à ma requête et je n’en dis donc pas plus. D’avance, je vous remercie chaleureusement.
A n’en pas douter, on retranscrit actuellement les causeries de mon beau-père, le Rabbi Chlita, dans votre ville. Peut-être est-il possible de m’en adresser une copie ici, de même que le texte de ce qu’il a dit, à propos de la bénédiction du Gomel(3), quand vous vous êtes rencontrés au port(4) et la description de ce qui s’est passé pendant la fête de Pessa’h. Je conclus en vous souhaitant tout le bien et dans l’attente de votre réponse sur tout cela, en vous en remerciant par avance,
M. Schneerson,
Notes
(1) 1940.
(2) Le Rav Dov Ber ‘Haskind. Voir, à son sujet, les lettres n°687 et 7801.
(3) L’action de grâce prononcée par celui qui bénéficie d’un bienfait.
(4) Voir, à ce propos les Iguerot Kodech du précédent Rabbi, tome 5, lettre n°1165 et le Séfer Ha Si’hot été 5700, à la page 1.