Lettre n° 7782
Par la grâce de D.ieu,
veille du saint Chabbat Parchat Para 5703,
A notre ami, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux
multiples accomplissements, le Rav Y. L. Ha Lévi(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais suite à notre discussion, à différentes reprises, concernant votre effort pour mobiliser des moyens financiers afin de publier le Tanya(2). Sans doute nous préciserez-vous ce qui a résulté de votre intervention, dont il est inutile de préciser l’importance et la grande valeur. J’ai bon espoir que vous ferez, en la matière, tout ce qui est en votre pouvoir. En effet, on raffine l’atmosphère du monde par les mots de la Torah et de la prière, à l’image du ver de la vache rousse, comme l’explique le Likouteï Torah, dans le discours ‘hassidique intitulé : “ Voici le Décret ”, au chapitre 4. Et, l’on peut penser qu’en étudiant le Tanya, qui est un recueil de conseils pour le service de D.ieu, on accomplit à la fois l’un et l’autre(3). Or, on confère un mérite à ceux qui le possèdent par nature et, de ce point de vue, on sait la différence qui doit être faite entre les Cohanim et les Léviim(4). En effet, il est dit de ces derniers qu’ils sont purs. Avec ma bénédiction de Techouva immédiate, délivrance immédiate,
le directeur du comité exécutif(5),
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav Yehouda Leïb Horowitz de Dorchester. Voir, à son sujet, la lettre n°7779.
(2) Il était alors projeté de publier le Tanya aux Etats-Unis, comme l’indiquait la lettre n°62, mais, concrètement, ce projet n’aboutit pas et cette édition fut réalisée à Tel Aviv, comme le précisera la lettre n°7785.
(3) On lit à la fois les mots de la Torah et ceux de la prière.
(4) Le destinataire de cette lettre est un Lévi.
(5) Du Ma’hané Israël.
veille du saint Chabbat Parchat Para 5703,
A notre ami, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux
multiples accomplissements, le Rav Y. L. Ha Lévi(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais suite à notre discussion, à différentes reprises, concernant votre effort pour mobiliser des moyens financiers afin de publier le Tanya(2). Sans doute nous préciserez-vous ce qui a résulté de votre intervention, dont il est inutile de préciser l’importance et la grande valeur. J’ai bon espoir que vous ferez, en la matière, tout ce qui est en votre pouvoir. En effet, on raffine l’atmosphère du monde par les mots de la Torah et de la prière, à l’image du ver de la vache rousse, comme l’explique le Likouteï Torah, dans le discours ‘hassidique intitulé : “ Voici le Décret ”, au chapitre 4. Et, l’on peut penser qu’en étudiant le Tanya, qui est un recueil de conseils pour le service de D.ieu, on accomplit à la fois l’un et l’autre(3). Or, on confère un mérite à ceux qui le possèdent par nature et, de ce point de vue, on sait la différence qui doit être faite entre les Cohanim et les Léviim(4). En effet, il est dit de ces derniers qu’ils sont purs. Avec ma bénédiction de Techouva immédiate, délivrance immédiate,
le directeur du comité exécutif(5),
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav Yehouda Leïb Horowitz de Dorchester. Voir, à son sujet, la lettre n°7779.
(2) Il était alors projeté de publier le Tanya aux Etats-Unis, comme l’indiquait la lettre n°62, mais, concrètement, ce projet n’aboutit pas et cette édition fut réalisée à Tel Aviv, comme le précisera la lettre n°7785.
(3) On lit à la fois les mots de la Torah et ceux de la prière.
(4) Le destinataire de cette lettre est un Lévi.
(5) Du Ma’hané Israël.