Lettre n° 7810
Par la grâce de D.ieu,
21 Sivan 5707,
Paris,
A l’attention du Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav C. M.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 10 Sivan. Il serait bon de vous adresser, d’une manière digne, au Joint(2) de votre ville, au nom de l’école Beth Sarah(3), qui est une branche d’autres écoles, se trouvant en différents endroits, portant toutes le même nom et se trouvant sous la direction du Merkaz Le Inyaneï ‘Hinou’h. Toutefois, cette institution doit être autonome(4), d’autant que ses élèves sont les filles des réfugiés, ce qui entre bien dans le domaine d’action du Joint. Vous leur demanderez donc d’allouer une subvention mensuelle, en fonction des besoins que vous leur communiquerez. S’agissant du programme d’étude, j’ai écrit à New York, comme je le disais dans ma précédente lettre(3).
Je vous joins le compte-rendu des propos qui ont été prononcés(5) lors de cette fête de Chavouot, de même qu’un feuillet d’enquête sur le Beth Sarah et sur ses Messibot Chabbat, qu’à n’en pas douter, vous dirigez également. J’ai l’intention de me rendre demain, avec succès, aux Etats-Unis. Je serai donc bref. C’est aussi une des raisons pour lesquelles la présente est rédigée avec un crayon noir. Vous voudrez bien m’en excuser. Je conclus donc en saluant tous les vôtres et en vous souhaitant tout le bien,
M. Schneerson,
Je m’occuperai de l’envoi des livres au Rav Neumann à mon arrivée à New York.
Notes
(1) Le Rav Chalom Mendel Kalmenson, alors à Prague. Voir, à son propos, la lettre n°7805. Cette lettre fut rédigée sur le papier à en-tête d’un hôtel parisien.
(2) Comité pour l’aide aux réfugiés.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°7808.
(4) Textuellement : “ être vivante et se supporter elle-même ”.
(5) Par le Rabbi Rayats.
21 Sivan 5707,
Paris,
A l’attention du Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav C. M.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 10 Sivan. Il serait bon de vous adresser, d’une manière digne, au Joint(2) de votre ville, au nom de l’école Beth Sarah(3), qui est une branche d’autres écoles, se trouvant en différents endroits, portant toutes le même nom et se trouvant sous la direction du Merkaz Le Inyaneï ‘Hinou’h. Toutefois, cette institution doit être autonome(4), d’autant que ses élèves sont les filles des réfugiés, ce qui entre bien dans le domaine d’action du Joint. Vous leur demanderez donc d’allouer une subvention mensuelle, en fonction des besoins que vous leur communiquerez. S’agissant du programme d’étude, j’ai écrit à New York, comme je le disais dans ma précédente lettre(3).
Je vous joins le compte-rendu des propos qui ont été prononcés(5) lors de cette fête de Chavouot, de même qu’un feuillet d’enquête sur le Beth Sarah et sur ses Messibot Chabbat, qu’à n’en pas douter, vous dirigez également. J’ai l’intention de me rendre demain, avec succès, aux Etats-Unis. Je serai donc bref. C’est aussi une des raisons pour lesquelles la présente est rédigée avec un crayon noir. Vous voudrez bien m’en excuser. Je conclus donc en saluant tous les vôtres et en vous souhaitant tout le bien,
M. Schneerson,
Je m’occuperai de l’envoi des livres au Rav Neumann à mon arrivée à New York.
Notes
(1) Le Rav Chalom Mendel Kalmenson, alors à Prague. Voir, à son propos, la lettre n°7805. Cette lettre fut rédigée sur le papier à en-tête d’un hôtel parisien.
(2) Comité pour l’aide aux réfugiés.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°7808.
(4) Textuellement : “ être vivante et se supporter elle-même ”.
(5) Par le Rabbi Rayats.