Lettre n° 7848

Par la grâce de D.ieu,
10 Nissan 5710,

J’ai(1) bien reçu votre lettre de la veille du saint Chabbat. Les propos que vous y tenez sont effroyables(2). J’ai déjà répondu à quelqu’un(3) qu’il y a là un moyen d’attenter à une vie(4) et l’on sait toutes les explications qui ont été données à ce sujet. Mais, malgré tout cela, peut-être… Et, ils écrivent, écrivent encore. A n’en pas douter, ils ont une bonne intention, mais…

J’ai mentionné tous ces noms, près du tombeau et, sans en faire le vœu, j’en ferai de même demain, en tant que bon ami. C’est ce que je fais, depuis quelques années déjà, en entrant dans le sanctuaire de mon beau-père, le Rabbi. Et, à ce propos, vous verrez le Séfer ‘Hassidim, au chapitre 1129, qui dit : “ Paré de beaux habits, il récitait le Kiddouch pour le compte de tous ”(5).

Notes

(1) Ceci est un additif à la lettre n°585.
(2) Le destinataire de cette lettre affirmait son désir de s’attacher au Rabbi et de le voir prendre la succession de son beau-père.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°576.
(4) En l’occurrence, celle du Rabbi.
(5) Le Rabbi est toujours présent, au-delà de l’existence physique. Voir, à ce sujet, le Likouteï Si’hot, tome 2, à la page 511.