Lettre n° 7849
Par la grâce de D.ieu,
13 Nissan 5710,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été satisfait de constater que vous vous en tenez à ce qui vous a été signifié par mon beau-père, le Rabbi et que vous récitez encore des discours ‘hassidiques. Mieux encore, vous transmettrez à ceux qui vous écoutent, avant ou après ce discours, selon les conditions de l’endroit, un extrait d’une causerie de mon beau-père, le Rabbi, en relation avec la période, portant, par exemple, sur la Paracha de la semaine. Par ailleurs, même si l’on ne prie pas avec la communauté(1), il est bien clair que l’on doit au moins entendre le Kaddish, le Bare’hou, la Kedoucha.
Vous m’écrivez que l’on n’étudie pas du tout à la veille du Chabbat(2). Je ne le comprends pas. Peut-être voulez-vous dire qu’il n’y a pas classe. Vous m’interrogez aussi sur la manière de réparer ce qui s’est passé. A mon humble avis, vous devez redoubler d’ardeur en l’éducation de la jeunesse. Pour l’heure, oubliez complètement ce que vous voulez réparer. Efforcez-vous de ne pas y penser. Je vous joins le fascicule de la fête de Pessa’h et la copie d’une lettre que j’ai adressée à quelqu’un. Je vous souhaite une fête de Pessa’h cachère et le succès de posséder la crainte de D.ieu, d’être un ‘Hassid et un érudit de la Torah,
M. Schneerson,
Notes
(1) Parce que l’on désire allonger sa prière.
(2) Que l’école dirigée par le destinataire de cette lettre n’a pas d’étude.
13 Nissan 5710,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été satisfait de constater que vous vous en tenez à ce qui vous a été signifié par mon beau-père, le Rabbi et que vous récitez encore des discours ‘hassidiques. Mieux encore, vous transmettrez à ceux qui vous écoutent, avant ou après ce discours, selon les conditions de l’endroit, un extrait d’une causerie de mon beau-père, le Rabbi, en relation avec la période, portant, par exemple, sur la Paracha de la semaine. Par ailleurs, même si l’on ne prie pas avec la communauté(1), il est bien clair que l’on doit au moins entendre le Kaddish, le Bare’hou, la Kedoucha.
Vous m’écrivez que l’on n’étudie pas du tout à la veille du Chabbat(2). Je ne le comprends pas. Peut-être voulez-vous dire qu’il n’y a pas classe. Vous m’interrogez aussi sur la manière de réparer ce qui s’est passé. A mon humble avis, vous devez redoubler d’ardeur en l’éducation de la jeunesse. Pour l’heure, oubliez complètement ce que vous voulez réparer. Efforcez-vous de ne pas y penser. Je vous joins le fascicule de la fête de Pessa’h et la copie d’une lettre que j’ai adressée à quelqu’un. Je vous souhaite une fête de Pessa’h cachère et le succès de posséder la crainte de D.ieu, d’être un ‘Hassid et un érudit de la Torah,
M. Schneerson,
Notes
(1) Parce que l’on désire allonger sa prière.
(2) Que l’école dirigée par le destinataire de cette lettre n’a pas d’étude.