Lettre n° 785
Par la grâce de D.ieu,
5 ‘Hechvan 5711,
Brooklyn,
Au Rav, ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav M.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à vos lettres du vendredi, veille du Chabbat "afin que tu sois élevé"(2), du jeudi des dix jours de Techouva et du jeudi, lendemain de Soukkot. Les multiples occupations du mois de Tichri ne m’ont pas permis de le faire avant. Encore actuellement, je dispose de peu de temps et j’écrirai donc brièvement.
J’ai lu les demandes de bénédiction que vous avez envoyées, avec la liste des élèves, à la veille de Roch Hachana, près du tombeau et, pendant les jours de Roch Hachana, dans son bureau, où il recevait et accordait des bénédictions.
A n’en pas douter, le Juste de la génération, mon beau-père, le Rabbi, a accordé ses bénédictions et le Tout Puissant les exaucera pleinement, dans les domaines matériel et spirituel à la fois.
De même, j’ai mentionné, près du tombeau, le nom des trois chefs de famille de la ville de Midlat que vous m’avez cités(3). Vous trouverez ci-joint les lettres que je leur adresse(4), comme vous l’avez suggéré. Vous me ferez sûrement savoir ce qu’il en est, dans ce domaine.
Vous évoquez vos difficultés financières. Plusieurs raisons extérieures en sont également la cause. En tout état de cause, j’ai bon espoir que la situation ira en s’améliorant.
Vous avez sans doute reçu tous les fascicules, y compris celui de Chemini Atséret, avec les lettres qui les accompagnaient. J’aimerais savoir si vous avez pu trouver un moment favorable pour diffuser leur contenu ou, tout au moins, celui des causeries, dans les cercles les plus larges et dans différentes villes.
Je vous remercie de m’avoir envoyé le livre que vous a donné le Rav de Midlat(5). Vous voudrez bien lui rappeler, de temps à autre, qu’il doit envoyer d’autres livres. De même, si vous rencontrez d’autres auteurs ou descendants d’auteurs de livres sacrés, il serait bon de leur suggérer de les offrir à notre bibliothèque. Bien évidemment, s’ils le désirent, nous leur adresserons nos publications. Vous voudrez bien m’indiquer quel genre de livres nous devons envoyez à chacun en particulier.
Il est extrêmement positif que vous saisissiez chaque occasion d’expliquer, en tout endroit possible, ce qu’est la ‘Hassidout. J’attends, de votre part, un complément d’information, en la matière. A n’en pas douter, la bénédiction de mon beau-père, le Rabbi, vous accompagne également dans cette activité, afin qu’elle soit fructueuse.
Sans en faire le voeu, j’écrirai, ces jours-ci, au Rav de Midlat.
Concernant l’élève que vous citez, il convient de se rapprocher de lui, de la manière qui convient. A l’occasion, vous voudrez bien lui demander, de ma part, s’il a reçu ma lettre et, de façon générale, comment s’est passé son mariage. Comme vous me l’avez demandé, j’écrirai, ces jours-ci, à son épouse.
Vous m’indiquerez sans doute quand vous aurez obtenu votre visa(6). Grâce aux relations que vous possédez, d’ores et déjà, sur place, vous pourrez sûrement obtenir que tout aille pour le mieux.
Vous me dites que vous vous sentez seul, isolé, que votre travail s’affaiblit, en conséquence. Votre conclusion permet d’établir ce qui est le point de départ, une intervention du mauvais penchant, qui tente d’affaiblir chacun, dans l’accomplissement de la mission qui lui est confiée, en fonction de son caractère propre.
Vous connaissez la sentence de mon beau-père, le Rabbi(7), selon laquelle "la ‘Hassidout a fait que l’on ne soit pas seul. Ses maîtres sont présents, partout où l’on se trouve". Combien plus en est-il ainsi pour mon beau-père, le Rabbi, qui écrivit lui-même, lors du décès de son père, que les bergers d’Israël n’abandonnent pas leur troupeau. Igueret Hakodech l’explique, au chapitre 27 et dans son commentaire.
Les limites physiques ont désormais disparues. Nos maîtres se trouvent donc avec chacun et chacune de ceux qui leur sont attachés, où qu’ils se trouvent, surtout là où ils les ont envoyés pour mener à bien la mission qu’ils leurs confient, combien plus lorsque cette mission consiste à diffuser les sources de l’enseignement du Baal Chem Tov à l’extérieur. Car, c’est ainsi que l’on prépare la venue du Machia’h, la résurrection des morts, lorsque "ils se réveilleront et se réjouiront, ceux qui reposent sous terre". Il(8) sera lui-même parmi eux.
Vous consulterez la causerie du 13 Tamouz 5709, imprimée dans le fascicule du 12 Tamouz 5710 et vous en tirerez de l’enthousiasme, de l’inspiration et de la force pour réaliser votre travail dans l’endroit où vous vous trouvez. Vous comprendrez ainsi, en faisant appel à la logique, qu’il n’y a pas lieu de penser que vous êtes seul et isolé, ce qu’à D.ieu ne plaise, ni, bien sûr, qu’il faille affaiblir votre travail.
Il est dommage que les ‘Hassidim, surtout les anciens élèves de la Yechiva, ne considèrent pas avec minutie les propos de mon beau-père, le Rabbi, y compris dans ces causeries et particulièrement ce qu’il a dit en 5710 et l’année précédente.
Vous me dites que, là où vous vous trouvez, on utilise des Ethroguim qui poussent sur place et que le Rav considère comme cachers, les arbres n’ayant pas été greffés. Or, vous les avez examinés et ne leur avez pas trouvé de pépins(9). S’il est certain qu’ils sont réputés cachers, il est, néanmoins, permis de les prendre pour réciter la bénédiction sur les quatre espèces. En effet, les signes de reconnaissance(10) donnés à leur propos ne proviennent pas de la Torah et leur réputation, dès lors qu’elle est établie, est particulièrement forte.
Vous consulterez le fascicule édité à l’occasion de Soukkot, qui dit que nous avons coutume d’utiliser précisément des Ethroguim de Calabre. L’Admour Hazaken expliquait qu’il fallait le faire pour une raison connue de lui. Néanmoins, dans plusieurs pays, on utilise des Ethroguim d’autres provenances. Leur validité est établie depuis plusieurs générations et il m’est donc difficile d’émettre un doute, de susciter la perplexité.
Pour autant, il est clair que tout cela ne nous concerne pas, nous ‘Hassidim ‘Habad. Nous devons nous en tenir à l’avis de l’Admour Hazaken et prononcer une bénédiction sur des Ethroguim provenant de Calabre. Concernant les signes de reconnaissance, vous consulterez également les livres cités par le Chaar Hacollel, au chapitre 37. Les responsa du ‘Hatam Sofer, qui y sont également mentionnés, affirment que les Ethroguim de Calabre se passent de tous les signes de reconnaissance. On peut en conclure que leur importance n’est pas déterminante, même lorsqu’ils introduisent une restriction.
J’aimerais savoir d’où l’on prend des branches de palmier et de saule, dans le pays où vous vous trouvez maintenant.
En attendant de vos bonnes nouvelles et en saluant tous les vôtres,
Mena’hem Schneerson,
Vous m’interrogez à propos de la bénédiction après le repas. Le Likouteï Meïr et le Birkat Yaakov, se basant sur le Ikreï Hadat, chapitre 9, paragraphe 36 et sur les responsa Techourat Chay, paragraphe 571, disent que celui qui a récité(11) la bénédiction après avoir consommé des gâteaux à la place de celle qui suit le repas ne s’est pas acquitté de son obligation et doit donc répéter cette bénédiction.
Je ne dispose pas de ces livres mais, semble-t-il, ils justifient leur position en faisant remarquer que cette bénédiction ne fait pas mention de l’alliance et de la Torah(12). Vous consulterez, à ce propos, le Choul’han Arou’h Ora’h ‘Haïm, chapitre 187.
Je viens de recevoir votre lettre du lundi de la Parchat Noa’h et la copie de celle du mercredi de cette même Paracha. J’ai déjà dit que les problèmes financiers seraient réglés. Nous écrivons, ce jour, à Paris(13) pour arrêter, en la matière, une organisation définitive.
Et, puisse D.ieu faire que nous ayons suffisamment d’émissaires et de moyens financiers pour mener à bien tout ce qui doit être accompli au Maroc et dans les pays voisins.
J’ai transmis au bureau votre demande concernant les exemplaires de la Guemara et les fascicules.
Il n’est pas souhaitable de développer les cours du soir pour ceux qui fréquentent les écoles de l’alliance, car ceux qui désirent confier à ces institutions l’éducation de leurs enfants trouveront, en cela, un appui à leur démarche.
On donnera un nom générique à l’ensemble de nos institutions, Ohaleï(14) Yossef Its’hak. Au sein de ce réseau, on distinguera les différentes catégories, Talmud Torah, Tiféret Ba’hourim(15).
Notes
(1) Le Rav Mi’haël Lipsker, émissaire du Rabbi au Maroc. Voir, à son propos, les lettres n°559, 821, 824, 874 et 1130.
(2) Devarim 26, 19. Il s’agit de la Parchat Ki Tavo.
(3) Ceux qui ont créé le Talmud Torah de cette ville, à l’initiative du Rav Lipsker.
(4) Voir, à ce propos, les deux lettres suivant celle-ci, la première adressée au Rav Meïr Abuhatsira, Rav de Midlat et la seconde au Rav Binyamin Abbou, de cette ville également.
(5) Le Rav Meïr Abuhatsira. Voir la lettre suivante.
(6) D’installation au Maroc.
(7) Voir, à ce propos, les lettres n°577 et 1080.
(8) Le précédent Rabbi.
(9) Qu’un Ethrog doit normalement posséder.
(10) Par exemple le fait de posséder des pépins.
(11) Après le repas.
(12) Ce que doit faire la bénédiction après le repas. C’est pour cela qu’elle ne peut la remplacer.
(13) Le Rav Binyamin Gorodetski était le directeur du bureau d’aide aux réfugiés, à Paris.
(14) Les tentes ou le souvenir.
(15) "La gloire des jeunes gens", réseau de cours destinés à rapprocher la jeunesse de la Torah et des Mitsvot.
5 ‘Hechvan 5711,
Brooklyn,
Au Rav, ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav M.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à vos lettres du vendredi, veille du Chabbat "afin que tu sois élevé"(2), du jeudi des dix jours de Techouva et du jeudi, lendemain de Soukkot. Les multiples occupations du mois de Tichri ne m’ont pas permis de le faire avant. Encore actuellement, je dispose de peu de temps et j’écrirai donc brièvement.
J’ai lu les demandes de bénédiction que vous avez envoyées, avec la liste des élèves, à la veille de Roch Hachana, près du tombeau et, pendant les jours de Roch Hachana, dans son bureau, où il recevait et accordait des bénédictions.
A n’en pas douter, le Juste de la génération, mon beau-père, le Rabbi, a accordé ses bénédictions et le Tout Puissant les exaucera pleinement, dans les domaines matériel et spirituel à la fois.
De même, j’ai mentionné, près du tombeau, le nom des trois chefs de famille de la ville de Midlat que vous m’avez cités(3). Vous trouverez ci-joint les lettres que je leur adresse(4), comme vous l’avez suggéré. Vous me ferez sûrement savoir ce qu’il en est, dans ce domaine.
Vous évoquez vos difficultés financières. Plusieurs raisons extérieures en sont également la cause. En tout état de cause, j’ai bon espoir que la situation ira en s’améliorant.
Vous avez sans doute reçu tous les fascicules, y compris celui de Chemini Atséret, avec les lettres qui les accompagnaient. J’aimerais savoir si vous avez pu trouver un moment favorable pour diffuser leur contenu ou, tout au moins, celui des causeries, dans les cercles les plus larges et dans différentes villes.
Je vous remercie de m’avoir envoyé le livre que vous a donné le Rav de Midlat(5). Vous voudrez bien lui rappeler, de temps à autre, qu’il doit envoyer d’autres livres. De même, si vous rencontrez d’autres auteurs ou descendants d’auteurs de livres sacrés, il serait bon de leur suggérer de les offrir à notre bibliothèque. Bien évidemment, s’ils le désirent, nous leur adresserons nos publications. Vous voudrez bien m’indiquer quel genre de livres nous devons envoyez à chacun en particulier.
Il est extrêmement positif que vous saisissiez chaque occasion d’expliquer, en tout endroit possible, ce qu’est la ‘Hassidout. J’attends, de votre part, un complément d’information, en la matière. A n’en pas douter, la bénédiction de mon beau-père, le Rabbi, vous accompagne également dans cette activité, afin qu’elle soit fructueuse.
Sans en faire le voeu, j’écrirai, ces jours-ci, au Rav de Midlat.
Concernant l’élève que vous citez, il convient de se rapprocher de lui, de la manière qui convient. A l’occasion, vous voudrez bien lui demander, de ma part, s’il a reçu ma lettre et, de façon générale, comment s’est passé son mariage. Comme vous me l’avez demandé, j’écrirai, ces jours-ci, à son épouse.
Vous m’indiquerez sans doute quand vous aurez obtenu votre visa(6). Grâce aux relations que vous possédez, d’ores et déjà, sur place, vous pourrez sûrement obtenir que tout aille pour le mieux.
Vous me dites que vous vous sentez seul, isolé, que votre travail s’affaiblit, en conséquence. Votre conclusion permet d’établir ce qui est le point de départ, une intervention du mauvais penchant, qui tente d’affaiblir chacun, dans l’accomplissement de la mission qui lui est confiée, en fonction de son caractère propre.
Vous connaissez la sentence de mon beau-père, le Rabbi(7), selon laquelle "la ‘Hassidout a fait que l’on ne soit pas seul. Ses maîtres sont présents, partout où l’on se trouve". Combien plus en est-il ainsi pour mon beau-père, le Rabbi, qui écrivit lui-même, lors du décès de son père, que les bergers d’Israël n’abandonnent pas leur troupeau. Igueret Hakodech l’explique, au chapitre 27 et dans son commentaire.
Les limites physiques ont désormais disparues. Nos maîtres se trouvent donc avec chacun et chacune de ceux qui leur sont attachés, où qu’ils se trouvent, surtout là où ils les ont envoyés pour mener à bien la mission qu’ils leurs confient, combien plus lorsque cette mission consiste à diffuser les sources de l’enseignement du Baal Chem Tov à l’extérieur. Car, c’est ainsi que l’on prépare la venue du Machia’h, la résurrection des morts, lorsque "ils se réveilleront et se réjouiront, ceux qui reposent sous terre". Il(8) sera lui-même parmi eux.
Vous consulterez la causerie du 13 Tamouz 5709, imprimée dans le fascicule du 12 Tamouz 5710 et vous en tirerez de l’enthousiasme, de l’inspiration et de la force pour réaliser votre travail dans l’endroit où vous vous trouvez. Vous comprendrez ainsi, en faisant appel à la logique, qu’il n’y a pas lieu de penser que vous êtes seul et isolé, ce qu’à D.ieu ne plaise, ni, bien sûr, qu’il faille affaiblir votre travail.
Il est dommage que les ‘Hassidim, surtout les anciens élèves de la Yechiva, ne considèrent pas avec minutie les propos de mon beau-père, le Rabbi, y compris dans ces causeries et particulièrement ce qu’il a dit en 5710 et l’année précédente.
Vous me dites que, là où vous vous trouvez, on utilise des Ethroguim qui poussent sur place et que le Rav considère comme cachers, les arbres n’ayant pas été greffés. Or, vous les avez examinés et ne leur avez pas trouvé de pépins(9). S’il est certain qu’ils sont réputés cachers, il est, néanmoins, permis de les prendre pour réciter la bénédiction sur les quatre espèces. En effet, les signes de reconnaissance(10) donnés à leur propos ne proviennent pas de la Torah et leur réputation, dès lors qu’elle est établie, est particulièrement forte.
Vous consulterez le fascicule édité à l’occasion de Soukkot, qui dit que nous avons coutume d’utiliser précisément des Ethroguim de Calabre. L’Admour Hazaken expliquait qu’il fallait le faire pour une raison connue de lui. Néanmoins, dans plusieurs pays, on utilise des Ethroguim d’autres provenances. Leur validité est établie depuis plusieurs générations et il m’est donc difficile d’émettre un doute, de susciter la perplexité.
Pour autant, il est clair que tout cela ne nous concerne pas, nous ‘Hassidim ‘Habad. Nous devons nous en tenir à l’avis de l’Admour Hazaken et prononcer une bénédiction sur des Ethroguim provenant de Calabre. Concernant les signes de reconnaissance, vous consulterez également les livres cités par le Chaar Hacollel, au chapitre 37. Les responsa du ‘Hatam Sofer, qui y sont également mentionnés, affirment que les Ethroguim de Calabre se passent de tous les signes de reconnaissance. On peut en conclure que leur importance n’est pas déterminante, même lorsqu’ils introduisent une restriction.
J’aimerais savoir d’où l’on prend des branches de palmier et de saule, dans le pays où vous vous trouvez maintenant.
En attendant de vos bonnes nouvelles et en saluant tous les vôtres,
Mena’hem Schneerson,
Vous m’interrogez à propos de la bénédiction après le repas. Le Likouteï Meïr et le Birkat Yaakov, se basant sur le Ikreï Hadat, chapitre 9, paragraphe 36 et sur les responsa Techourat Chay, paragraphe 571, disent que celui qui a récité(11) la bénédiction après avoir consommé des gâteaux à la place de celle qui suit le repas ne s’est pas acquitté de son obligation et doit donc répéter cette bénédiction.
Je ne dispose pas de ces livres mais, semble-t-il, ils justifient leur position en faisant remarquer que cette bénédiction ne fait pas mention de l’alliance et de la Torah(12). Vous consulterez, à ce propos, le Choul’han Arou’h Ora’h ‘Haïm, chapitre 187.
Je viens de recevoir votre lettre du lundi de la Parchat Noa’h et la copie de celle du mercredi de cette même Paracha. J’ai déjà dit que les problèmes financiers seraient réglés. Nous écrivons, ce jour, à Paris(13) pour arrêter, en la matière, une organisation définitive.
Et, puisse D.ieu faire que nous ayons suffisamment d’émissaires et de moyens financiers pour mener à bien tout ce qui doit être accompli au Maroc et dans les pays voisins.
J’ai transmis au bureau votre demande concernant les exemplaires de la Guemara et les fascicules.
Il n’est pas souhaitable de développer les cours du soir pour ceux qui fréquentent les écoles de l’alliance, car ceux qui désirent confier à ces institutions l’éducation de leurs enfants trouveront, en cela, un appui à leur démarche.
On donnera un nom générique à l’ensemble de nos institutions, Ohaleï(14) Yossef Its’hak. Au sein de ce réseau, on distinguera les différentes catégories, Talmud Torah, Tiféret Ba’hourim(15).
Notes
(1) Le Rav Mi’haël Lipsker, émissaire du Rabbi au Maroc. Voir, à son propos, les lettres n°559, 821, 824, 874 et 1130.
(2) Devarim 26, 19. Il s’agit de la Parchat Ki Tavo.
(3) Ceux qui ont créé le Talmud Torah de cette ville, à l’initiative du Rav Lipsker.
(4) Voir, à ce propos, les deux lettres suivant celle-ci, la première adressée au Rav Meïr Abuhatsira, Rav de Midlat et la seconde au Rav Binyamin Abbou, de cette ville également.
(5) Le Rav Meïr Abuhatsira. Voir la lettre suivante.
(6) D’installation au Maroc.
(7) Voir, à ce propos, les lettres n°577 et 1080.
(8) Le précédent Rabbi.
(9) Qu’un Ethrog doit normalement posséder.
(10) Par exemple le fait de posséder des pépins.
(11) Après le repas.
(12) Ce que doit faire la bénédiction après le repas. C’est pour cela qu’elle ne peut la remplacer.
(13) Le Rav Binyamin Gorodetski était le directeur du bureau d’aide aux réfugiés, à Paris.
(14) Les tentes ou le souvenir.
(15) "La gloire des jeunes gens", réseau de cours destinés à rapprocher la jeunesse de la Torah et des Mitsvot.