Lettre n° 7864
[Entre Roch Hachana et Yom Kippour 5710]
Je(1) vous remercie beaucoup pour les discours ‘hassidiques et les causeries que vous m’avez adressés. De fait, certaines d’entre elles me faisaient défaut. Si vous en trouvez d’autres, vous voudrez bien me les envoyer. D’avance je vous en remercie beaucoup.
Vous vous interrogez sur la causerie de Sim’hat Torah 5686(2), qui fait état du décret relatif aux chapeaux(3) et fait mention du Rabbi de Berditchev, “ érudit et ‘Hassid ” selon l’expression qui est employée par le Likouteï Torah, Chir Hachirim, à la page 18c. J’ai déjà eu connaissance d’une telle remarque, mais celle-ci était formulée à propos de Rabbi Hillel de Paritch. Il semble donc qu’il y ait eu une confusion du rédacteur, ce qui permet de comprendre la précision selon laquelle il prononça des propos devant ses disciples. En effet, il n’est pas dit que Rabbi Lévi Its’hak de Berditchev possédait une Yechiva(4). Par ailleurs, vous faites référence aux prémices et vous consulterez, à ce sujet, le Zohar, tome 3, à la page 253a et le Mikdach Méle’h, à la même référence, de même que le discours ‘hassidique de 5654(5), intitulé : “ Au jour des prémices ”(6).
*
Vous me demandez d’invoquer la miséricorde divine, pour votre compte. Sans doute me confirmerez-vous que vous avez préparé des réceptacles purs et larges pour cela, en vous soumettant à la Torah, en travaillant votre propre personnalité et en venant en aide aux autres(7).
*
S’agissant de votre fils C. D.(8), vous me demandez s’il doit venir ici afin d’intégrer la Yechiva Tom’heï Temimim. Vous consulterez le fascicule de Chemini Atséret, à la page 90(9), selon lequel les ‘Hassidim de Londres doivent révéler la lumière de Loubavitch dans cette ville et il doit donc être possible de le faire. Il serait bon de constituer des groupes de jeunes gens pour l’étude de la ‘Hassidout et votre fils en sera l’un des animateurs. Dès lors, “ l’Eternel fait briller les yeux de tous ”. Quand ce groupe sera constitué, on pourra se demander si votre fils doit quitter l’endroit. Je vous remercie de me donner de bonnes nouvelles, à ce sujet(10).
Notes
(1) Ces trois passages furent ajoutés à la lettre n°765, qui a été adressée à plusieurs personnes.
(2) 1925, du Rabbi Rayats, dans le Séfer Ha Si’hot 5680-5687, à la page 96.
(3) Les autorités russes décrétèrent que les Juifs devaient porter des casquettes à visière. L’Admour Hazaken s’en affecta et il fit remarquer qu’on les empêchait, de la sorte, d’observer le ciel et la divine Providence. Le Rabbi de Berditchev lui répondit que les Juifs surmonteraient cette épreuve et qu’ils sauraient tourner la visière vers la nuque pour continuer à observer le ciel.
(4) Rabbi Hillel de Paritch, en revanche, en avait une.
(5) 1894, du Rabbi Rachab.
(6) Ce premier passage fut écrit au Rav Mi’haël Yehouda Aryé Leïb Cohen. Voir, à son sujet, les lettres n°7478 et 8014.
(7) Ce second passage fut écrit au Rav Aharon Yossef Belinitski.
(8) Le Rav Chmouel David Gurkov.
(9) Dans le Séfer Ha Maamarim 5711.
(10) Ce troisième passage fut écrit au Rav Yaakov Yossef Gurkov, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°6172.
Je(1) vous remercie beaucoup pour les discours ‘hassidiques et les causeries que vous m’avez adressés. De fait, certaines d’entre elles me faisaient défaut. Si vous en trouvez d’autres, vous voudrez bien me les envoyer. D’avance je vous en remercie beaucoup.
Vous vous interrogez sur la causerie de Sim’hat Torah 5686(2), qui fait état du décret relatif aux chapeaux(3) et fait mention du Rabbi de Berditchev, “ érudit et ‘Hassid ” selon l’expression qui est employée par le Likouteï Torah, Chir Hachirim, à la page 18c. J’ai déjà eu connaissance d’une telle remarque, mais celle-ci était formulée à propos de Rabbi Hillel de Paritch. Il semble donc qu’il y ait eu une confusion du rédacteur, ce qui permet de comprendre la précision selon laquelle il prononça des propos devant ses disciples. En effet, il n’est pas dit que Rabbi Lévi Its’hak de Berditchev possédait une Yechiva(4). Par ailleurs, vous faites référence aux prémices et vous consulterez, à ce sujet, le Zohar, tome 3, à la page 253a et le Mikdach Méle’h, à la même référence, de même que le discours ‘hassidique de 5654(5), intitulé : “ Au jour des prémices ”(6).
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Vous me demandez d’invoquer la miséricorde divine, pour votre compte. Sans doute me confirmerez-vous que vous avez préparé des réceptacles purs et larges pour cela, en vous soumettant à la Torah, en travaillant votre propre personnalité et en venant en aide aux autres(7).
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S’agissant de votre fils C. D.(8), vous me demandez s’il doit venir ici afin d’intégrer la Yechiva Tom’heï Temimim. Vous consulterez le fascicule de Chemini Atséret, à la page 90(9), selon lequel les ‘Hassidim de Londres doivent révéler la lumière de Loubavitch dans cette ville et il doit donc être possible de le faire. Il serait bon de constituer des groupes de jeunes gens pour l’étude de la ‘Hassidout et votre fils en sera l’un des animateurs. Dès lors, “ l’Eternel fait briller les yeux de tous ”. Quand ce groupe sera constitué, on pourra se demander si votre fils doit quitter l’endroit. Je vous remercie de me donner de bonnes nouvelles, à ce sujet(10).
Notes
(1) Ces trois passages furent ajoutés à la lettre n°765, qui a été adressée à plusieurs personnes.
(2) 1925, du Rabbi Rayats, dans le Séfer Ha Si’hot 5680-5687, à la page 96.
(3) Les autorités russes décrétèrent que les Juifs devaient porter des casquettes à visière. L’Admour Hazaken s’en affecta et il fit remarquer qu’on les empêchait, de la sorte, d’observer le ciel et la divine Providence. Le Rabbi de Berditchev lui répondit que les Juifs surmonteraient cette épreuve et qu’ils sauraient tourner la visière vers la nuque pour continuer à observer le ciel.
(4) Rabbi Hillel de Paritch, en revanche, en avait une.
(5) 1894, du Rabbi Rachab.
(6) Ce premier passage fut écrit au Rav Mi’haël Yehouda Aryé Leïb Cohen. Voir, à son sujet, les lettres n°7478 et 8014.
(7) Ce second passage fut écrit au Rav Aharon Yossef Belinitski.
(8) Le Rav Chmouel David Gurkov.
(9) Dans le Séfer Ha Maamarim 5711.
(10) Ce troisième passage fut écrit au Rav Yaakov Yossef Gurkov, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°6172.