Lettre n° 7875
Par la grâce de D.ieu,
12 Adar Chéni 5711,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du dimanche de la Parchat Pekoudeï, m’informant que la paix ne règne pas pleinement dans votre foyer, entre vous et votre épouse. Vous me demandez ce qu’il convient de faire, à mon sens(1). Or, mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, a béni votre union et il vous a souhaité Mazal Tov. Et, les paroles des Justes sont immuables. Il faut donc apaiser votre épouse, lui expliquer clairement tout cela(2). A n’en pas douter, les ‘Hassidim âgés vous aideront à rétablir la paix entre vous, si cela s’avère nécessaire. Grâce à des paroles agréables et une attitude de proximité, la paix et le calme règneront dans votre maison et vous aurez des enfants(3).
J’ai bien reçu votre demande de bénédiction pour cette personne et j’en ai donné lecture près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin qu’il invoque une immense miséricorde, en tous ses besoins. Avec ma bénédiction pour un joyeux Pourim,
M. Schneerson,
Notes
(1) A ce sujet, voir également la lettre suivante.
(2) Lui rappeler qu’une union ayant reçu la bénédiction du Rabbi ne peut se solder par un échec.
(3) Leur manque pouvant être l’un des éléments de la discorde.
12 Adar Chéni 5711,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du dimanche de la Parchat Pekoudeï, m’informant que la paix ne règne pas pleinement dans votre foyer, entre vous et votre épouse. Vous me demandez ce qu’il convient de faire, à mon sens(1). Or, mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, a béni votre union et il vous a souhaité Mazal Tov. Et, les paroles des Justes sont immuables. Il faut donc apaiser votre épouse, lui expliquer clairement tout cela(2). A n’en pas douter, les ‘Hassidim âgés vous aideront à rétablir la paix entre vous, si cela s’avère nécessaire. Grâce à des paroles agréables et une attitude de proximité, la paix et le calme règneront dans votre maison et vous aurez des enfants(3).
J’ai bien reçu votre demande de bénédiction pour cette personne et j’en ai donné lecture près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin qu’il invoque une immense miséricorde, en tous ses besoins. Avec ma bénédiction pour un joyeux Pourim,
M. Schneerson,
Notes
(1) A ce sujet, voir également la lettre suivante.
(2) Lui rappeler qu’une union ayant reçu la bénédiction du Rabbi ne peut se solder par un échec.
(3) Leur manque pouvant être l’un des éléments de la discorde.