Lettre n° 789
Par la grâce de D.ieu,
5 Mar’Hechvan 5711,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu,
le Rav Mendel Glatt,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été satisfait d’avoir de vos nouvelles par notre ami, le grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, homme plein d’empressement, aux multiples réalisations, Rav Yossef Halevi Weinberg.
Il est dit que tous les Juifs sont garants l’un de l’autre, Arévim. Toutefois, ce terme indique aussi que l’un est doux à l’autre, qu’ils sont interdépendants, partagent une même responsabilité. Ainsi, l’amour de l’un pour l’autre les rend interdépendants, de sorte que chacun est responsable pour les autres. C’est, dans le domaine matériel, le principe de l’assurance et combien plus en est-il ainsi spirituellement.
Mon beau-père, le Rabbi, a souligné qu’incombe à chacun le devoir de donner de la Tsédaka morale, avec largesse, aux personnes avec lesquelles ont est en contact ou bien à celles qui appartiennent à la même communauté, mais sont spirituellement dans le besoin. Il faut donc organiser des études publiques et les rapprocher de la Torah et des Mitsvot.
Ce sont là de larges réceptacles, permettant d’obtenir toutes les bénédictions, matérielles et spirituelles. Et l’on peut en déduire également l’importance de la Tsédaka qu’un Juif doit donner à son âme divine, en fixant un moment pour étudier la partie révélée de la Torah et son enseignement profond, c'est-à-dire la ‘Hassidout.
J’espère avoir de bonnes nouvelles, à propos de ce que vous aurez accompli, dans ce domaine. Je vous remercie de bien vouloir me les communiquer.
Avec ma bénédiction pour une grande réussite, matérielle et spirituelle,
Mena’hem Schneerson,
5 Mar’Hechvan 5711,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu,
le Rav Mendel Glatt,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été satisfait d’avoir de vos nouvelles par notre ami, le grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, homme plein d’empressement, aux multiples réalisations, Rav Yossef Halevi Weinberg.
Il est dit que tous les Juifs sont garants l’un de l’autre, Arévim. Toutefois, ce terme indique aussi que l’un est doux à l’autre, qu’ils sont interdépendants, partagent une même responsabilité. Ainsi, l’amour de l’un pour l’autre les rend interdépendants, de sorte que chacun est responsable pour les autres. C’est, dans le domaine matériel, le principe de l’assurance et combien plus en est-il ainsi spirituellement.
Mon beau-père, le Rabbi, a souligné qu’incombe à chacun le devoir de donner de la Tsédaka morale, avec largesse, aux personnes avec lesquelles ont est en contact ou bien à celles qui appartiennent à la même communauté, mais sont spirituellement dans le besoin. Il faut donc organiser des études publiques et les rapprocher de la Torah et des Mitsvot.
Ce sont là de larges réceptacles, permettant d’obtenir toutes les bénédictions, matérielles et spirituelles. Et l’on peut en déduire également l’importance de la Tsédaka qu’un Juif doit donner à son âme divine, en fixant un moment pour étudier la partie révélée de la Torah et son enseignement profond, c'est-à-dire la ‘Hassidout.
J’espère avoir de bonnes nouvelles, à propos de ce que vous aurez accompli, dans ce domaine. Je vous remercie de bien vouloir me les communiquer.
Avec ma bénédiction pour une grande réussite, matérielle et spirituelle,
Mena’hem Schneerson,