Lettre n° 7943
Par la grâce de D.ieu,
6 Chevat 5713,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se
consacre aux besoins communautaires, le Rav…,
Je vous salue et vous bénis,
C’est avec plaisir et joie que j’ai reçu votre lettre, dont vous avez commencé la rédaction le 19 Tévet. Vous me décrivez de quelle manière s’est passé le mois de Tichri et la période qui l’a suivie. Je suis particulièrement satisfait de constater que vous avez admis l’exactitude de la conclusion et je suis certain que cela vous servira de leçon, que vous comprendrez désormais qu’un Juif est l’émissaire du Saint béni soit-Il. Et, si l’on s’imagine être faible, physiquement ou moralement, c’est parce que l’on oublie, momentanément, que l’on est l’émissaire de D.ieu, dont les forces sont sans fin et sans limite. A l’opposé, quand on a conscience d’être l’émissaire de D.ieu, on connaît la réussite et l’on obtient la santé, y compris physiquement, au sens le plus littéral.
Que D.ieu vous accorde d’autres missions positives, pour de longs jours, de longues années. Vous les mènerez à bien dans la joie et avec un meilleur état de santé. Vous pourrez également me donner de bonnes nouvelles de la santé de votre épouse. Après ce Chabbat, le lundi 10 Chevat sera la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Conformément à votre demande, je mentionnerai alors votre nom(1) et celui de votre épouse. Je vous joins une courte biographie(2) en yiddish, qui a été publiée ces jours-ci et qui vous sera utile, dans l’influence que vous exercez auprès de votre entourage. Avec ma bénédiction de prompte guérison, pour vous-même et pour votre épouse, de même que de bonne santé et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Près du tombeau du précédent Rabbi.
(2) Du précédent Rabbi.
6 Chevat 5713,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se
consacre aux besoins communautaires, le Rav…,
Je vous salue et vous bénis,
C’est avec plaisir et joie que j’ai reçu votre lettre, dont vous avez commencé la rédaction le 19 Tévet. Vous me décrivez de quelle manière s’est passé le mois de Tichri et la période qui l’a suivie. Je suis particulièrement satisfait de constater que vous avez admis l’exactitude de la conclusion et je suis certain que cela vous servira de leçon, que vous comprendrez désormais qu’un Juif est l’émissaire du Saint béni soit-Il. Et, si l’on s’imagine être faible, physiquement ou moralement, c’est parce que l’on oublie, momentanément, que l’on est l’émissaire de D.ieu, dont les forces sont sans fin et sans limite. A l’opposé, quand on a conscience d’être l’émissaire de D.ieu, on connaît la réussite et l’on obtient la santé, y compris physiquement, au sens le plus littéral.
Que D.ieu vous accorde d’autres missions positives, pour de longs jours, de longues années. Vous les mènerez à bien dans la joie et avec un meilleur état de santé. Vous pourrez également me donner de bonnes nouvelles de la santé de votre épouse. Après ce Chabbat, le lundi 10 Chevat sera la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Conformément à votre demande, je mentionnerai alors votre nom(1) et celui de votre épouse. Je vous joins une courte biographie(2) en yiddish, qui a été publiée ces jours-ci et qui vous sera utile, dans l’influence que vous exercez auprès de votre entourage. Avec ma bénédiction de prompte guérison, pour vous-même et pour votre épouse, de même que de bonne santé et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Près du tombeau du précédent Rabbi.
(2) Du précédent Rabbi.