Lettre n° 8007
Par la grâce de D.ieu,
9 Adar Chéni 5714,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Chmouel Tsvi(1), le Cho’het,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris la nouvelle par téléphone, puis j’ai reçu une lettre du Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, le Rav Moché Elyahou Gerlitski(2), m’annonçant que votre état de santé n’est pas bon. Lorsque je me trouverai près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, je mentionnerai votre nom afin que vous ayez une prompte guérison. J’ai bon espoir que vous-même pourrez me donner de bonnes nouvelles, à ce sujet. Il est sans doute inutile de vous souligner qu’il faut voir, en toute chose, une allusion céleste à la Torah de D.ieu et à Son service. Bien plus, le cœur est le sanctuaire du sentiment d’amour de D.ieu et, ainsi qu’il est dit : “ Tu aimeras l’Eternel ton D.ieu de tout ton cœur ”.(3) Quand un Juif y grave ce sentiment et raffermit sa santé morale, D.ieu renforce aussi sa santé physique.
Comment parvenir à l’amour de D.ieu ? Il faut y méditer, de différentes façons, comme l’expliquent plusieurs chapitres du Tanya. Il serait donc bon de vous fixer une étude de la ‘Hassidout, au moins quelques fois par semaine, Vous pourrez sans doute en parler au Rav Gerlitski. Vous avez sûrement connaissance des trois études qui concernent chacun et qui ont été instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Elles portent sur les Tehilim, selon leur répartition mensuelle, chaque jour après la prière du matin, sur une Paracha du ‘Houmach avec le commentaire de Rachi, de la Sidra de la semaine, le dimanche du début au Chéni, le lundi du Chéni au Chelichi et ainsi de suite, sur le Tanya selon sa répartition annuelle. Avec ma bénédiction de prompte guérison et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav C. T. Joseph, de Montréal.
(2) De Montréal.
(3) Le destinataire de la présente souffrait vraisemblablement du cœur.
9 Adar Chéni 5714,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Chmouel Tsvi(1), le Cho’het,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris la nouvelle par téléphone, puis j’ai reçu une lettre du Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, le Rav Moché Elyahou Gerlitski(2), m’annonçant que votre état de santé n’est pas bon. Lorsque je me trouverai près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, je mentionnerai votre nom afin que vous ayez une prompte guérison. J’ai bon espoir que vous-même pourrez me donner de bonnes nouvelles, à ce sujet. Il est sans doute inutile de vous souligner qu’il faut voir, en toute chose, une allusion céleste à la Torah de D.ieu et à Son service. Bien plus, le cœur est le sanctuaire du sentiment d’amour de D.ieu et, ainsi qu’il est dit : “ Tu aimeras l’Eternel ton D.ieu de tout ton cœur ”.(3) Quand un Juif y grave ce sentiment et raffermit sa santé morale, D.ieu renforce aussi sa santé physique.
Comment parvenir à l’amour de D.ieu ? Il faut y méditer, de différentes façons, comme l’expliquent plusieurs chapitres du Tanya. Il serait donc bon de vous fixer une étude de la ‘Hassidout, au moins quelques fois par semaine, Vous pourrez sans doute en parler au Rav Gerlitski. Vous avez sûrement connaissance des trois études qui concernent chacun et qui ont été instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Elles portent sur les Tehilim, selon leur répartition mensuelle, chaque jour après la prière du matin, sur une Paracha du ‘Houmach avec le commentaire de Rachi, de la Sidra de la semaine, le dimanche du début au Chéni, le lundi du Chéni au Chelichi et ainsi de suite, sur le Tanya selon sa répartition annuelle. Avec ma bénédiction de prompte guérison et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav C. T. Joseph, de Montréal.
(2) De Montréal.
(3) Le destinataire de la présente souffrait vraisemblablement du cœur.