Lettre n° 8010
Par la grâce de D.ieu,
21 Adar Chéni 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre, dans laquelle vous m’annoncez une bonne nouvelle. Vous me dites, en effet, que votre épouse a recouvré ses forces. Nos Sages affirment que l’on doit connaître l’élévation dans le domaine de la sainteté. Vous continuerez donc à me donner de bonnes nouvelles, matérielles et spirituelles, de vous-même, de votre épouse, de vos enfants et de tous les vôtres. En effet, il est une Mitsva de la Torah de réjouir le cœur de votre épouse. Ceci fait également partie du “ grand principe de la Torah ” qui est enseigné par Rabbi Akiva, c’est-à-dire de la Mitsva selon laquelle : “ Tu aimeras ton prochain comme toi-même ”. Vous avez transmis à votre fils, le Rav, le contenu de la lettre que je vous ai adressée, le concernant(1) et je vous en remercie. Sans doute y avez-vous ajouté vos propres explications. J’observe, dans la lettre de votre fils, qu’il s’entretiendra encore avec vous de tout cela. Vous saisirez sûrement cette opportunité pour le renforcer et l’encourager.
Comme le rappelle un proverbe bien connu, le temps perdu ne sera jamais retrouvé. Ce qui peut être fait aujourd’hui ne doit donc pas être remis à plus tard. Bien plus, on sait que chaque jour doit avoir son contenu propre(2). Il doit être empli de ce qu’il faut, conformément aux capacités de chacun. Combien plus en est-il ainsi pour un homme public, qui étend son influence sur un groupe se conformant à ses instructions. Bien plus, ceci est d’actualité, car deux Rabbanim, chefs et dirigeants de l’association rabbinique, sont revenus, ces jours-ci, de Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie. Sans doute l’impact de leur visite et le compte-rendu qu’ils ont fait de la manière dont les membres de leur organisation considèrent les questions liées à Erets Israël recevront-ils une expression concrète dans les discours qu’ils feront. En effet, comme le veut la coutume de ce pays, ils en prononceront à l’occasion de la fête de Pessa’h, qui approche, pendant ses premiers jours et, encore plus certainement, pendant ses derniers jours.
J’adresse ma bénédiction à vous-même et à votre épouse, pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, à la fois matériellement et spirituellement,
Notes
(1) Il s’agit de la lettre n°8005.
(2) Un nombre établi de bonnes actions devant être accomplies.
21 Adar Chéni 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre, dans laquelle vous m’annoncez une bonne nouvelle. Vous me dites, en effet, que votre épouse a recouvré ses forces. Nos Sages affirment que l’on doit connaître l’élévation dans le domaine de la sainteté. Vous continuerez donc à me donner de bonnes nouvelles, matérielles et spirituelles, de vous-même, de votre épouse, de vos enfants et de tous les vôtres. En effet, il est une Mitsva de la Torah de réjouir le cœur de votre épouse. Ceci fait également partie du “ grand principe de la Torah ” qui est enseigné par Rabbi Akiva, c’est-à-dire de la Mitsva selon laquelle : “ Tu aimeras ton prochain comme toi-même ”. Vous avez transmis à votre fils, le Rav, le contenu de la lettre que je vous ai adressée, le concernant(1) et je vous en remercie. Sans doute y avez-vous ajouté vos propres explications. J’observe, dans la lettre de votre fils, qu’il s’entretiendra encore avec vous de tout cela. Vous saisirez sûrement cette opportunité pour le renforcer et l’encourager.
Comme le rappelle un proverbe bien connu, le temps perdu ne sera jamais retrouvé. Ce qui peut être fait aujourd’hui ne doit donc pas être remis à plus tard. Bien plus, on sait que chaque jour doit avoir son contenu propre(2). Il doit être empli de ce qu’il faut, conformément aux capacités de chacun. Combien plus en est-il ainsi pour un homme public, qui étend son influence sur un groupe se conformant à ses instructions. Bien plus, ceci est d’actualité, car deux Rabbanim, chefs et dirigeants de l’association rabbinique, sont revenus, ces jours-ci, de Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie. Sans doute l’impact de leur visite et le compte-rendu qu’ils ont fait de la manière dont les membres de leur organisation considèrent les questions liées à Erets Israël recevront-ils une expression concrète dans les discours qu’ils feront. En effet, comme le veut la coutume de ce pays, ils en prononceront à l’occasion de la fête de Pessa’h, qui approche, pendant ses premiers jours et, encore plus certainement, pendant ses derniers jours.
J’adresse ma bénédiction à vous-même et à votre épouse, pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, à la fois matériellement et spirituellement,
Notes
(1) Il s’agit de la lettre n°8005.
(2) Un nombre établi de bonnes actions devant être accomplies.