Lettre n° 8114
Par la grâce de D.ieu,
24 Adar Richon 5717(1),
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Chnéor Zalman(2),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, sollicitant une bénédiction, qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous me dites, en effet, que vous avez reçu une lettre émanant du pays dans lequel nous nous trouvions auparavant(3), dans laquelle on vous demande des médicaments. Or, après une enquête effectuée ici, vous vous êtes aperçus que ces médicaments sont très forts et qu’il est impossible de les prescrire sans avoir examiné le patient. En fait, on a déjà été confronté à de telles situations. L’usage, en la matière, veut que l’on envoie, avec les médicaments, le mode d’emploi permettant de les utiliser. Dans certains cas, en effet, ils s’avèrent particulièrement adaptés. Un médecin ami, de votre connaissance, pourra se procurer ce mode d’emploi chez le fabriquant de ces médicaments ou bien auprès des périodiques publiés par les associations médicales. Sans doute connaissez-vous plusieurs médecins, dans la ville où vous vous trouvez actuellement. Par leur intermédiaire, vous pourrez vous les procurer et les envoyer avec les médicaments.
Il faut savoir également que l’on reçoit plusieurs de ces périodiques, dans le pays où nous nous trouvions auparavant. Si, en envoyant ces médicaments, vous précisez les références des articles les concernant, on peut penser qu’un médecin local parviendra à se les procurer. Mais, bien entendu, il est préférable de leur envoyer ces périodiques d’ici. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela, d’un bien visible et tangible. Avec mes respects et ma bénédiction,
M. Schneerson,
Notes
(1) 1957.
(2) Le Rav C. Z. Wilenkin. Voir, à son sujet, la lettre n°5987.
(3) La Russie.
24 Adar Richon 5717(1),
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Chnéor Zalman(2),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, sollicitant une bénédiction, qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous me dites, en effet, que vous avez reçu une lettre émanant du pays dans lequel nous nous trouvions auparavant(3), dans laquelle on vous demande des médicaments. Or, après une enquête effectuée ici, vous vous êtes aperçus que ces médicaments sont très forts et qu’il est impossible de les prescrire sans avoir examiné le patient. En fait, on a déjà été confronté à de telles situations. L’usage, en la matière, veut que l’on envoie, avec les médicaments, le mode d’emploi permettant de les utiliser. Dans certains cas, en effet, ils s’avèrent particulièrement adaptés. Un médecin ami, de votre connaissance, pourra se procurer ce mode d’emploi chez le fabriquant de ces médicaments ou bien auprès des périodiques publiés par les associations médicales. Sans doute connaissez-vous plusieurs médecins, dans la ville où vous vous trouvez actuellement. Par leur intermédiaire, vous pourrez vous les procurer et les envoyer avec les médicaments.
Il faut savoir également que l’on reçoit plusieurs de ces périodiques, dans le pays où nous nous trouvions auparavant. Si, en envoyant ces médicaments, vous précisez les références des articles les concernant, on peut penser qu’un médecin local parviendra à se les procurer. Mais, bien entendu, il est préférable de leur envoyer ces périodiques d’ici. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela, d’un bien visible et tangible. Avec mes respects et ma bénédiction,
M. Schneerson,
Notes
(1) 1957.
(2) Le Rav C. Z. Wilenkin. Voir, à son sujet, la lettre n°5987.
(3) La Russie.