Lettre n° 8120
Par la grâce de D.ieu,
21 Iyar 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre
aux besoins communautaires, le Rav Chlomo(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 16 Iyar et à celle qui la précédait. Le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, Rav H. M. A. Hadakov(2) vous a déjà transmis mon opinion. Si l’information obtenue par l’intermédiaire du Rav Spector est certaine, il faut s’engager à hauteur de mille livres. Mon raisonnement est, en l’occurrence, le suivant. Entre temps, deux mois s’écouleront et, à l’heure actuelle, il est difficile de savoir ce qui se passera à l’issue de ce délai, y compris pour ceux qui sont bien informés. Plus généralement, j’ai entendu, une fois, un bon mot d’un commerçant, selon lequel une affaire dans laquelle la tête ne joue aucun rôle ne doit pas être recherchée. Il en est ainsi pour tout ce qui concerne la bourse(2), surtout à notre époque, en laquelle tout n’est pas basé sur des comptes exacts et des résultats solides.
Pour ce qui est du prêt(4), les commerçants d’ici se trouvent dans une situation très serrée. Il est donc hors de question de les solliciter, surtout pour quelqu’un qui se trouve à l’étranger. Que D.ieu vous aide à gagner votre vie plus largement, d’une manière sans cesse accrue. De la sorte, vous aurez la largesse d’esprit, qui permet de faire tout ce qui est nécessaire pour la Torah et les Mitsvot, de la manière qui convient. D.ieu fasse que vous m’annonciez de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit, en bonne santé, de même que les membres de votre famille. Avec ma bénédiction,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav C. Perrin, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°7965.
(2) Le Rav ‘Haïm Morde’haï Aïzik Hadakov, directeur du secrétariat du Rabbi.
(3) En russe dans le texte, le reste de la lettre étant en yiddish.
(4) Devant être contracté auprès de commerçants américains.
21 Iyar 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre
aux besoins communautaires, le Rav Chlomo(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 16 Iyar et à celle qui la précédait. Le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, Rav H. M. A. Hadakov(2) vous a déjà transmis mon opinion. Si l’information obtenue par l’intermédiaire du Rav Spector est certaine, il faut s’engager à hauteur de mille livres. Mon raisonnement est, en l’occurrence, le suivant. Entre temps, deux mois s’écouleront et, à l’heure actuelle, il est difficile de savoir ce qui se passera à l’issue de ce délai, y compris pour ceux qui sont bien informés. Plus généralement, j’ai entendu, une fois, un bon mot d’un commerçant, selon lequel une affaire dans laquelle la tête ne joue aucun rôle ne doit pas être recherchée. Il en est ainsi pour tout ce qui concerne la bourse(2), surtout à notre époque, en laquelle tout n’est pas basé sur des comptes exacts et des résultats solides.
Pour ce qui est du prêt(4), les commerçants d’ici se trouvent dans une situation très serrée. Il est donc hors de question de les solliciter, surtout pour quelqu’un qui se trouve à l’étranger. Que D.ieu vous aide à gagner votre vie plus largement, d’une manière sans cesse accrue. De la sorte, vous aurez la largesse d’esprit, qui permet de faire tout ce qui est nécessaire pour la Torah et les Mitsvot, de la manière qui convient. D.ieu fasse que vous m’annonciez de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit, en bonne santé, de même que les membres de votre famille. Avec ma bénédiction,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav C. Perrin, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°7965.
(2) Le Rav ‘Haïm Morde’haï Aïzik Hadakov, directeur du secrétariat du Rabbi.
(3) En russe dans le texte, le reste de la lettre étant en yiddish.
(4) Devant être contracté auprès de commerçants américains.