Lettre n° 8127
Par la grâce de D.ieu,
5 Elloul 5717,
Brooklyn,
A monsieur Nathan Noté(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me parlez de votre effort pour renforcer la sainte Yechiva Tom’heï Temimim de Lod, de même que Kfar ‘Habad. D.ieu fasse que cet effort connaisse un grand succès, ce qui est le plus grand plaisir pour l’homme qui le consent et qui en observe ainsi les fruits positifs. Ceci multipliera les bénédictions de D.ieu en vos besoins. Pour de longs jours et de bonnes années, vous continuerez à agir, en la matière, dans des proportions beaucoup plus larges, conformément à l’injonction de la Torah selon laquelle on connaît l’élévation dans le domaine de la sainteté.
Bien entendu, il est bon de faire connaître tout cela, car, en faisant plaisir à un Juif, y compris lorsque celui-ci se trouve sur un autre continent(2), on met en pratique le Précepte : “ Tu aimeras ton prochain comme toi-même ”. En outre, on peut observer, dans la pratique, qu’en sachant que l’on devra écrire à quelqu’un pour lui décrire ses bonnes actions, on les renforce et on les multiplie. On peut effectivement vérifier qu’il en est bien ainsi. Vous avez sûrement connaissance de la pratique consistant à lire des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, chaque matin, après la prière. Le cas échéant, vous vous engagerez à le faire à l’avenir. Avec ma bénédiction afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) N. N. Holtsman, de Béer Yaakov.
(2) En l’occurrence, le Rabbi lui-même.
5 Elloul 5717,
Brooklyn,
A monsieur Nathan Noté(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me parlez de votre effort pour renforcer la sainte Yechiva Tom’heï Temimim de Lod, de même que Kfar ‘Habad. D.ieu fasse que cet effort connaisse un grand succès, ce qui est le plus grand plaisir pour l’homme qui le consent et qui en observe ainsi les fruits positifs. Ceci multipliera les bénédictions de D.ieu en vos besoins. Pour de longs jours et de bonnes années, vous continuerez à agir, en la matière, dans des proportions beaucoup plus larges, conformément à l’injonction de la Torah selon laquelle on connaît l’élévation dans le domaine de la sainteté.
Bien entendu, il est bon de faire connaître tout cela, car, en faisant plaisir à un Juif, y compris lorsque celui-ci se trouve sur un autre continent(2), on met en pratique le Précepte : “ Tu aimeras ton prochain comme toi-même ”. En outre, on peut observer, dans la pratique, qu’en sachant que l’on devra écrire à quelqu’un pour lui décrire ses bonnes actions, on les renforce et on les multiplie. On peut effectivement vérifier qu’il en est bien ainsi. Vous avez sûrement connaissance de la pratique consistant à lire des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, chaque matin, après la prière. Le cas échéant, vous vous engagerez à le faire à l’avenir. Avec ma bénédiction afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) N. N. Holtsman, de Béer Yaakov.
(2) En l’occurrence, le Rabbi lui-même.