Lettre n° 8134
Par la grâce de D.ieu,
5 Mar ‘Hechvan 5718,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre
aux besoins communautaires, le Rav ‘Haïm Zoussya(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu conjointement vos deux lettres, la première que vous avez rédigée entre le 11 et le 27 Tichri, la seconde du 28 Tichri, de même que celles qui les précédaient. Nous attendons la suite des bonnes nouvelles, dans tous les domaines que vous mentionnez. Vous m’interrogez sur la signification de la jonction des terrains(2). Il est difficile d’indiquer, d’ici, lequel on doit retenir et lequel doit être écarté. Cette question doit être analysée et il faut lui apporter une décision sur place. En tout état de cause, le point central, en la matière, a déjà été énoncé. Il faut écarter le désir d’être le vainqueur et s’efforcer que cette jonction ne soit pas intégrale, afin que l’on ne puisse prétendre qu’un point d’implantation a été supprimé. C’est bien évident.
Il semble que les actions du mois de Tichri aient été un peu mieux organisées parce que vous vous êtes concertés à l’avance et il apparaît que vous avez mis au point un programme, bien que celui-ci n’a vraisemblablement pas été aussi détaillé qu’il l’aurait fallu. Certains aspects sont donc restés comme “ la marmite des associés ”(3). Sur cette base, vous établirez sûrement un programme détaillé pour le mois de Kislev, qui approche, en particulier pour la fête du 19 Kislev. J’espère qu’à réception de la présente, l’état de santé des membres de votre famille se sera amélioré et qu’il en sera de même pour les autres habitants de Kfar ‘Habad, au sein de tout Israël. Puisse D.ieu faire que vous ne m’annonciez que le bien, toujours et tous les jours, de manière générale et de façon plus spécifique. Avec ma bénédiction et mes salutations,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav H. Z. Wilimovski. Voir, à son sujet, la lettre n°7979.
(2) Des deux villages To’hélet et Kfar ‘Habad. Voir, à ce sujet, les lettres n°8137 et 8147.
(3) Dont nul ne s’occupe, chacun s’en remettant à l’autre.
5 Mar ‘Hechvan 5718,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre
aux besoins communautaires, le Rav ‘Haïm Zoussya(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu conjointement vos deux lettres, la première que vous avez rédigée entre le 11 et le 27 Tichri, la seconde du 28 Tichri, de même que celles qui les précédaient. Nous attendons la suite des bonnes nouvelles, dans tous les domaines que vous mentionnez. Vous m’interrogez sur la signification de la jonction des terrains(2). Il est difficile d’indiquer, d’ici, lequel on doit retenir et lequel doit être écarté. Cette question doit être analysée et il faut lui apporter une décision sur place. En tout état de cause, le point central, en la matière, a déjà été énoncé. Il faut écarter le désir d’être le vainqueur et s’efforcer que cette jonction ne soit pas intégrale, afin que l’on ne puisse prétendre qu’un point d’implantation a été supprimé. C’est bien évident.
Il semble que les actions du mois de Tichri aient été un peu mieux organisées parce que vous vous êtes concertés à l’avance et il apparaît que vous avez mis au point un programme, bien que celui-ci n’a vraisemblablement pas été aussi détaillé qu’il l’aurait fallu. Certains aspects sont donc restés comme “ la marmite des associés ”(3). Sur cette base, vous établirez sûrement un programme détaillé pour le mois de Kislev, qui approche, en particulier pour la fête du 19 Kislev. J’espère qu’à réception de la présente, l’état de santé des membres de votre famille se sera amélioré et qu’il en sera de même pour les autres habitants de Kfar ‘Habad, au sein de tout Israël. Puisse D.ieu faire que vous ne m’annonciez que le bien, toujours et tous les jours, de manière générale et de façon plus spécifique. Avec ma bénédiction et mes salutations,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav H. Z. Wilimovski. Voir, à son sujet, la lettre n°7979.
(2) Des deux villages To’hélet et Kfar ‘Habad. Voir, à ce sujet, les lettres n°8137 et 8147.
(3) Dont nul ne s’occupe, chacun s’en remettant à l’autre.