Lettre n° 8154
Par la grâce de D.ieu,
5 Iyar 5718,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, se consacre
aux besoins communautaires, aux comportements
généreux, le Rav Chlomo(1)
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du Roch ‘Hodech Iyar, dans laquelle vous me parlez de votre épouse, madame Feyla. En un moment propice, on mentionnera encore une fois son nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que son état de santé s’améliore très vite. Avec elle, vous aurez, pour de longs jours et de bonnes années, beaucoup de satisfaction de vos enfants et de vos petits-enfants.
Bien plus, vous faites allusion à vos origines et plusieurs points que vous me précisez étaient, pour moi, véritablement nouveaux. Ceci vous protègera donc en ce qui vient d’être dit(2). On connaît, en effet, l’affirmation de nos Sages selon laquelle : “ lorsque l’on décoche une flèche, celle-ci retombe sur sa pointe ”(3). Combien plus en est-il ainsi pour ce qui est de la chaleur et de l’enthousiasme ‘hassidiques, que vos parents ont reçus de nos maîtres, fondateurs de l’enseignement de ’Habad. On sait que les paroles et les actes des Justes sont immuables et qu’ils font leur effet, au sens le plus littéral, dans l’existence quotidienne. A n’en pas douter, ces actes multiplieront les bénédictions que D.ieu vous accorde en tout ce qui vient d’être dit. Dans l’attente de vos bonnes nouvelles, je conclus en vous adressant ma bénédiction, matérielle et spirituelle,
M. Schneerson,
Je viens de recevoir votre lettre m’annonçant que l’état de santé de votre épouse s’est amélioré. Je vous en remercie beaucoup, de même que pour la photographie de vos petites-filles, que D.ieu leur accorde de longs jours et de bonnes années.
Notes
(1) Le Rav C. Perrin, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°7965.
(2) Pour obtenir une bonne santé et la satisfaction des enfants.
(3) On retrouve toujours ses origines.
5 Iyar 5718,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, se consacre
aux besoins communautaires, aux comportements
généreux, le Rav Chlomo(1)
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du Roch ‘Hodech Iyar, dans laquelle vous me parlez de votre épouse, madame Feyla. En un moment propice, on mentionnera encore une fois son nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que son état de santé s’améliore très vite. Avec elle, vous aurez, pour de longs jours et de bonnes années, beaucoup de satisfaction de vos enfants et de vos petits-enfants.
Bien plus, vous faites allusion à vos origines et plusieurs points que vous me précisez étaient, pour moi, véritablement nouveaux. Ceci vous protègera donc en ce qui vient d’être dit(2). On connaît, en effet, l’affirmation de nos Sages selon laquelle : “ lorsque l’on décoche une flèche, celle-ci retombe sur sa pointe ”(3). Combien plus en est-il ainsi pour ce qui est de la chaleur et de l’enthousiasme ‘hassidiques, que vos parents ont reçus de nos maîtres, fondateurs de l’enseignement de ’Habad. On sait que les paroles et les actes des Justes sont immuables et qu’ils font leur effet, au sens le plus littéral, dans l’existence quotidienne. A n’en pas douter, ces actes multiplieront les bénédictions que D.ieu vous accorde en tout ce qui vient d’être dit. Dans l’attente de vos bonnes nouvelles, je conclus en vous adressant ma bénédiction, matérielle et spirituelle,
M. Schneerson,
Je viens de recevoir votre lettre m’annonçant que l’état de santé de votre épouse s’est amélioré. Je vous en remercie beaucoup, de même que pour la photographie de vos petites-filles, que D.ieu leur accorde de longs jours et de bonnes années.
Notes
(1) Le Rav C. Perrin, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°7965.
(2) Pour obtenir une bonne santé et la satisfaction des enfants.
(3) On retrouve toujours ses origines.