Lettre n° 8161
Par la grâce de D.ieu,
11 Tichri 5719,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et assume
une mission sacrée(1), Rav Elyahou Akiva(2),
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre de la veille de Yom Kippour, avec le chèque qui y était joint. Celui-ci a été transmis à mon secrétariat, qui vous répondra directement. J’ai pris connaissance, avec plaisir, dans votre courrier, du sentiment de proximité que vous avez ressenti, bien que, pour l’heure, celui-ci ne soit pas encore suffisant, comme vous l’indiquez vous-même. Puisse D.ieu faire que cette évolution s’accentue, jusqu’à être le fait de tous, jusqu’à être, selon l’expression de l’Admour Hazaken, dans le Likouteï Torah, au début de la Parchat Nitsavim, “ unifiés, tous comme un ”. Bien plus, tous ces jours du mois de Tichri, en général, sont liés et attachés à Roch Hachana, à propos duquel il est dit(3) : “ Vous vous trouvez tous ensemble ”.
Vous me parlez de votre affaire, qui vous cause, chaque année, une perte substantielle et, profondément, vous attribuez ce résultat à votre travail au sein d’une école appartenant à la vigne de ‘Habad. Si c’est effectivement le cas, il y a là une immense folie de votre part. Autre point, qui est essentiel, il est clair qu’aucune perte matérielle ne peut en découler. Bien au contraire, cela ne peut avoir pour effet qu’un gain. Et, l’on a pu observer concrètement que tous ceux qui se sont consacrés aux domaines de mon beau-père, le Rabbi ont, au final, obtenu le succès, à la fois spirituel et matériel. C’est bien évident.
Nous approchons du “ jour de notre fête ”(4) et c’est alors que se révèle ce qui a été accompli pendant “ la période cachée ”, les dix jours de Techouva. En ce domaine également, apparaîtra un bien visible et tangible, ici-bas, d’une manière concrète. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour avoir une joyeuse fête,
M. Schneerson,
Notes
(1) Celle de l’enseignement.
(2) Le Rav E. A. Lipsker. Voir, à son sujet, la lettre n°8148.
(3) Au début de la Parchat Nitsavim, lue pendant le Chabbat qui précède cette fête.
(4) De Soukkot.
11 Tichri 5719,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et assume
une mission sacrée(1), Rav Elyahou Akiva(2),
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre de la veille de Yom Kippour, avec le chèque qui y était joint. Celui-ci a été transmis à mon secrétariat, qui vous répondra directement. J’ai pris connaissance, avec plaisir, dans votre courrier, du sentiment de proximité que vous avez ressenti, bien que, pour l’heure, celui-ci ne soit pas encore suffisant, comme vous l’indiquez vous-même. Puisse D.ieu faire que cette évolution s’accentue, jusqu’à être le fait de tous, jusqu’à être, selon l’expression de l’Admour Hazaken, dans le Likouteï Torah, au début de la Parchat Nitsavim, “ unifiés, tous comme un ”. Bien plus, tous ces jours du mois de Tichri, en général, sont liés et attachés à Roch Hachana, à propos duquel il est dit(3) : “ Vous vous trouvez tous ensemble ”.
Vous me parlez de votre affaire, qui vous cause, chaque année, une perte substantielle et, profondément, vous attribuez ce résultat à votre travail au sein d’une école appartenant à la vigne de ‘Habad. Si c’est effectivement le cas, il y a là une immense folie de votre part. Autre point, qui est essentiel, il est clair qu’aucune perte matérielle ne peut en découler. Bien au contraire, cela ne peut avoir pour effet qu’un gain. Et, l’on a pu observer concrètement que tous ceux qui se sont consacrés aux domaines de mon beau-père, le Rabbi ont, au final, obtenu le succès, à la fois spirituel et matériel. C’est bien évident.
Nous approchons du “ jour de notre fête ”(4) et c’est alors que se révèle ce qui a été accompli pendant “ la période cachée ”, les dix jours de Techouva. En ce domaine également, apparaîtra un bien visible et tangible, ici-bas, d’une manière concrète. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour avoir une joyeuse fête,
M. Schneerson,
Notes
(1) Celle de l’enseignement.
(2) Le Rav E. A. Lipsker. Voir, à son sujet, la lettre n°8148.
(3) Au début de la Parchat Nitsavim, lue pendant le Chabbat qui précède cette fête.
(4) De Soukkot.