Lettre n° 8163
Par la grâce de D.ieu,
17 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Aryé Dov(1) et son épouse, madame Slava,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 15 ‘Hechvan et au télégramme qui l’a suivie, faisant référence au mariage de votre fils(2), qui aura de longs jours et de bonnes années. Vous avez sûrement déjà reçu mon précédent courrier, qui y faisait également référence. Néanmoins, je répèterai mon propos ici.
Il a été question, à différentes reprises, de fixer ce mariage en Kislev(3), mois de la délivrance(4), en particulier pour les ‘Hassidim et les élèves de la Yechiva Tom’heï Temimim. En effet, il n’y a pas lieu de retarder un mariage, conformément à la coutume juive. Dans la mesure du possible, il faudra donc effectivement s’efforcer de le célébrer en Kislev. Pour ce qui est du lieu de ce mariage, les deux familles se mettront d’accord et la décision qu’elles prendront sera fructueuse en tout point. Avec ma bénédiction pour que vous ayez une meilleure santé, pour me faire savoir que vous recouvrez vos forces et pour me donner de bonnes nouvelles de ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) Le Rav A. D. Edelman, de Paris. Voir, à son sujet, la lettre n°1079.
(2) Le Rav Chalom Edelman, par la suite émissaire du Rabbi à Casablanca, Maroc.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°3092.
(4) De l’Admour Hazaken des prisons tsaristes, le 19 Kislev.
17 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Aryé Dov(1) et son épouse, madame Slava,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 15 ‘Hechvan et au télégramme qui l’a suivie, faisant référence au mariage de votre fils(2), qui aura de longs jours et de bonnes années. Vous avez sûrement déjà reçu mon précédent courrier, qui y faisait également référence. Néanmoins, je répèterai mon propos ici.
Il a été question, à différentes reprises, de fixer ce mariage en Kislev(3), mois de la délivrance(4), en particulier pour les ‘Hassidim et les élèves de la Yechiva Tom’heï Temimim. En effet, il n’y a pas lieu de retarder un mariage, conformément à la coutume juive. Dans la mesure du possible, il faudra donc effectivement s’efforcer de le célébrer en Kislev. Pour ce qui est du lieu de ce mariage, les deux familles se mettront d’accord et la décision qu’elles prendront sera fructueuse en tout point. Avec ma bénédiction pour que vous ayez une meilleure santé, pour me faire savoir que vous recouvrez vos forces et pour me donner de bonnes nouvelles de ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) Le Rav A. D. Edelman, de Paris. Voir, à son sujet, la lettre n°1079.
(2) Le Rav Chalom Edelman, par la suite émissaire du Rabbi à Casablanca, Maroc.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°3092.
(4) De l’Admour Hazaken des prisons tsaristes, le 19 Kislev.