Lettre n° 8172
Par la grâce de D.ieu,
26 Tévet 5719(1),
Brooklyn,
Aux membres du comité de Kfar ‘Habad,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dont le contenu porte sur la manière de profiter du dixième anniversaire de la création du Kfar et de son introduction. Vous me demandez si, à mon avis, il convient de vous intéresser à ce projet. Toutefois, en la matière, le début doit se trouver à l’autre extrémité(2), ce qui veut dire que, si certaines personnes sont aptes à cela, il leur appartient de l’organiser, de la manière qui convient. Ce sera alors positif. En la matière, il est important de disposer d’un programme détaillé, qui sera établi d’avance, beaucoup plus que pour tous les autres domaines du Kfar. En effet, une telle célébration ne peut avoir lieu qu’une seule fois toutes les quelques années(3). Il faut donc s’efforcer d’en tirer tout le profit. C’est bien évident.
Il est clair que chacun peut commettre une erreur, mais cela peut être un moyen de se justifier uniquement après que l’on ait introduit son propre effort, dans toute la mesure de ses moyens ou, tout au moins, quand on est à peu près certain qu’il en a bien été ainsi(4). Il est sûrement inutile d’ajouter qu’avec l’attention qui convient, on peut attendre d’une telle célébration les résultats les plus hauts et les plus importants. De même, il va sans dire que cela n’est pas lié à une date précise(5). A notre époque, il est devenu habituel, y compris pour ce qui est lié à un temps précis, de fixer les célébrations et les conséquences également par la suite. Et, l’on peut justifier ce changement de date de différentes façons, dès lors qu’il s’avère utile. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) 1959.
(2) L’initiative doit venir d’en bas.
(3) A l’occasion d’un anniversaire particulier.
(4) Que l’on a réellement fait tout ce que l’on a pu.
(5) Le jour même de l’anniversaire.
26 Tévet 5719(1),
Brooklyn,
Aux membres du comité de Kfar ‘Habad,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dont le contenu porte sur la manière de profiter du dixième anniversaire de la création du Kfar et de son introduction. Vous me demandez si, à mon avis, il convient de vous intéresser à ce projet. Toutefois, en la matière, le début doit se trouver à l’autre extrémité(2), ce qui veut dire que, si certaines personnes sont aptes à cela, il leur appartient de l’organiser, de la manière qui convient. Ce sera alors positif. En la matière, il est important de disposer d’un programme détaillé, qui sera établi d’avance, beaucoup plus que pour tous les autres domaines du Kfar. En effet, une telle célébration ne peut avoir lieu qu’une seule fois toutes les quelques années(3). Il faut donc s’efforcer d’en tirer tout le profit. C’est bien évident.
Il est clair que chacun peut commettre une erreur, mais cela peut être un moyen de se justifier uniquement après que l’on ait introduit son propre effort, dans toute la mesure de ses moyens ou, tout au moins, quand on est à peu près certain qu’il en a bien été ainsi(4). Il est sûrement inutile d’ajouter qu’avec l’attention qui convient, on peut attendre d’une telle célébration les résultats les plus hauts et les plus importants. De même, il va sans dire que cela n’est pas lié à une date précise(5). A notre époque, il est devenu habituel, y compris pour ce qui est lié à un temps précis, de fixer les célébrations et les conséquences également par la suite. Et, l’on peut justifier ce changement de date de différentes façons, dès lors qu’il s’avère utile. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) 1959.
(2) L’initiative doit venir d’en bas.
(3) A l’occasion d’un anniversaire particulier.
(4) Que l’on a réellement fait tout ce que l’on a pu.
(5) Le jour même de l’anniversaire.