Lettre n° 8175
Par la grâce de D.ieu,
12 Chevat 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et assume une mission
sacrée(1), le Rav C.(2) et son épouse, madame Guittel,
que D.ieu vous accorde une longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat et à vos deux télégrammes. J’ai bon espoir qu’à réception de la présente, l’état de santé de madame sera meilleur, qu’il ira en s’améliorant et D.ieu fasse que, très bientôt, elle recouvre pleinement ses forces. Vous me donnerez de bonnes nouvelles, à ce sujet.
Votre lettre semble indiquer que vous n’aviez pas pris conseil auprès de nos amis, les ‘Hassidim de Casa(3), s’y trouvant depuis quelques années déjà et connaissant les médecins, de même que leur compétence. Cela est surprenant, car l’amitié avec les ‘Hassidim est importante, y compris quand on se trouve dans la meilleure situation et, a fortiori, quand on a besoin d’une bénédiction supplémentaire de la part de D.ieu, Créateur du monde Qui le dirige. J’espère qu’au moins à l’avenir, ceci s’améliorera et que tout se passera pour le mieux. En la matière également, j’attends de bonnes nouvelles. Le mérite de votre participation à la mission confiée par mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël, vous protégera sûrement, en tout cela, au plus vite. Dans l’attente de vos bonnes nouvelle, je conclus en vous adressant une immense bénédiction, matérielle et spirituelle,
M. Schneerson,
Notes
(1) Celle de l’enseignement.
(2) Le Rav Chalom Edelman et son épouse qui étaient partis, après leur mariage, à Casablanca, Maroc, afin d’y assumer la mission que le Rabbi leur avait confiée. Voir, à son sujet, la lettre n°6463.
(3) Casablanca.
12 Chevat 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et assume une mission
sacrée(1), le Rav C.(2) et son épouse, madame Guittel,
que D.ieu vous accorde une longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat et à vos deux télégrammes. J’ai bon espoir qu’à réception de la présente, l’état de santé de madame sera meilleur, qu’il ira en s’améliorant et D.ieu fasse que, très bientôt, elle recouvre pleinement ses forces. Vous me donnerez de bonnes nouvelles, à ce sujet.
Votre lettre semble indiquer que vous n’aviez pas pris conseil auprès de nos amis, les ‘Hassidim de Casa(3), s’y trouvant depuis quelques années déjà et connaissant les médecins, de même que leur compétence. Cela est surprenant, car l’amitié avec les ‘Hassidim est importante, y compris quand on se trouve dans la meilleure situation et, a fortiori, quand on a besoin d’une bénédiction supplémentaire de la part de D.ieu, Créateur du monde Qui le dirige. J’espère qu’au moins à l’avenir, ceci s’améliorera et que tout se passera pour le mieux. En la matière également, j’attends de bonnes nouvelles. Le mérite de votre participation à la mission confiée par mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël, vous protégera sûrement, en tout cela, au plus vite. Dans l’attente de vos bonnes nouvelle, je conclus en vous adressant une immense bénédiction, matérielle et spirituelle,
M. Schneerson,
Notes
(1) Celle de l’enseignement.
(2) Le Rav Chalom Edelman et son épouse qui étaient partis, après leur mariage, à Casablanca, Maroc, afin d’y assumer la mission que le Rabbi leur avait confiée. Voir, à son sujet, la lettre n°6463.
(3) Casablanca.