Lettre n° 8182

Par la grâce de D.ieu,
23 Adar Chéni 5719,
Brooklyn,

A monsieur Aharon(1),

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre du 15 Adar Chéni et, en un moment propice, on mentionnera tous les noms que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin que chacun obtienne la satisfaction de ses besoins, conformément à ce que vous m’écrivez. Il est sûrement inutile de vous souligner que plus l’on renforce sa pratique de la Torah et des Mitsvot, aussi bonne que puisse être sa situation, puisqu’un ajout reste toujours possible, en ce qui concerne le bien et la sainteté, plus l’on multiplie les bénédictions de D.ieu, en les besoins d’un homme et des membres de sa famille.

Bien plus, vous vous consacrez à la propagation du Judaïsme et de ce qui le concerne autour de vous, en particulier dans le domaine de l’éducation basée sur les valeurs sacrées. Pour reprendre votre expression, vous avez agi et fait agir, de toutes vos forces, avec quelques-uns de vos amis, au profit de l’école religieuse ‘Habad se trouvant sur place. Ceci protégera vous-même, les membres de votre famille, eux(2), les membres de leur famille et multipliera les bénédictions de D.ieu en tous vos besoins, matériels et spirituels. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout ce qui figure dans cette lettre, de même que de toutes vos préoccupations communautaires, qui incluent le renforcement et le développement, qualitatifs et quantitatifs, de cette école ‘Habad. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela,

N. B. : Vous me dites, dans votre lettre, que vous éprouvez des difficultés à gagner votre vie. Or, vous connaissez le conseil que donnent nos Sages, à ce propos(3). Il est nécessaire d’apporter une large contribution à la Tsédaka, de répartir cette somme et de la donner en de nombreuses fois. L’un des moments propices pour cela est chaque matin de semaine, avant la prière.

Notes

(1) Monsieur A. Moula, du Mochav Avital.
(2) Les amis qui ont accordé leur aide.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°7336.