Lettre n° 8192
Par la grâce de D.ieu,
14 Sivan 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce dimanche, dans laquelle vous me parlez de la poursuite de vos études. Il est bien évident que vous devez vous trouver dans une Yechiva en laquelle on étudie à la fois la partie révélée de la Torah et la ‘Hassidout. L’expression “ à la fois ”(1) signifie ici qu’en étudiant la partie révélée de la Torah, on doit, à l’évidence, être quelqu’un qui apprend la ‘Hassidout de la manière qui convient.
Comme l’établissent différents textes, en particulier le Likouteï Torah(2), à propos de l’expression : “ Heureux celui qui arrive ici(3) avec son étude à la main ”, deux précisions sont introduites par ce texte. D’une part, il faut avoir “ son étude ”, c’est-à-dire, au sens le plus littéral, la partie révélée de la Torah. D’autre part, celle-ci doit se trouver précisément “ à la main ” et ne pas être restée dans le monde matériel(4), comme le souligne le Tanya, au début du chapitre 3. C’est bien évident. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Cette expression est soulignée par le Rabbi.
(2) Parchat Vaét’hanan, à la page 6c et Chir Hachirim, à la page 22d.
(3) Dans le monde des âmes, le Gan Eden, à l’issue de l’existence physique.
(4) Parce qu’elle n’aurait pas reçu l’élévation.
14 Sivan 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce dimanche, dans laquelle vous me parlez de la poursuite de vos études. Il est bien évident que vous devez vous trouver dans une Yechiva en laquelle on étudie à la fois la partie révélée de la Torah et la ‘Hassidout. L’expression “ à la fois ”(1) signifie ici qu’en étudiant la partie révélée de la Torah, on doit, à l’évidence, être quelqu’un qui apprend la ‘Hassidout de la manière qui convient.
Comme l’établissent différents textes, en particulier le Likouteï Torah(2), à propos de l’expression : “ Heureux celui qui arrive ici(3) avec son étude à la main ”, deux précisions sont introduites par ce texte. D’une part, il faut avoir “ son étude ”, c’est-à-dire, au sens le plus littéral, la partie révélée de la Torah. D’autre part, celle-ci doit se trouver précisément “ à la main ” et ne pas être restée dans le monde matériel(4), comme le souligne le Tanya, au début du chapitre 3. C’est bien évident. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Cette expression est soulignée par le Rabbi.
(2) Parchat Vaét’hanan, à la page 6c et Chir Hachirim, à la page 22d.
(3) Dans le monde des âmes, le Gan Eden, à l’issue de l’existence physique.
(4) Parce qu’elle n’aurait pas reçu l’élévation.