Lettre n° 8193
Par la grâce de D.ieu,
17 Sivan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous m’écrivez à propos de votre fille. En un moment propice, je mentionnerai encore une fois son nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous me dites que l’on vous propose de nouveau un traitement à base d’insuline. De façon générale, il est habituel de recommencer un tel traitement, mais, dernièrement, différentes conceptions ont été développées sur la manière de soigner cet affection. Certains préconisent le maintien de l’insuline et des chocs électriques, comme cela a été le cas jusqu’à maintenant. En revanche, une conception plus récente se suffit de comprimés et de discussions.
Que Celui Qui guérit toute chair et accomplit des merveilles hâte donc sa guérison, par l’intermédiaire d’un traitement adapté. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela,
M. Schneerson,
Il est clair que, d’une manière concrète, vous devez vous conformer aux prescriptions du médecin qui se trouve sur place. Pour autant, vous pouvez lui apporter toutes ces précisions, d’une manière diplomatique.
17 Sivan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous m’écrivez à propos de votre fille. En un moment propice, je mentionnerai encore une fois son nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous me dites que l’on vous propose de nouveau un traitement à base d’insuline. De façon générale, il est habituel de recommencer un tel traitement, mais, dernièrement, différentes conceptions ont été développées sur la manière de soigner cet affection. Certains préconisent le maintien de l’insuline et des chocs électriques, comme cela a été le cas jusqu’à maintenant. En revanche, une conception plus récente se suffit de comprimés et de discussions.
Que Celui Qui guérit toute chair et accomplit des merveilles hâte donc sa guérison, par l’intermédiaire d’un traitement adapté. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela,
M. Schneerson,
Il est clair que, d’une manière concrète, vous devez vous conformer aux prescriptions du médecin qui se trouve sur place. Pour autant, vous pouvez lui apporter toutes ces précisions, d’une manière diplomatique.