Lettre n° 8218
Par la grâce de D.ieu,
19 Tamouz 5721,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Yaakov(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre du 14 Tamouz et, même après l’avoir lue, vous comprendrez que je reste surpris par cette longue interruption. Vous me décrivez l’importance de cette institution(2). Je suis étonné que vous ayez un doute, à ce sujet et que vous me posiez une telle question, surtout en cette période, après les jours favorables de la fête de la libération des 12 et 13 Tamouz. On sait, en effet, à quel point mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël, fit don de lui-même pour l’éducation basée sur les valeurs sacrées, y compris lorsque cela mit sa vie en danger. Combien plus l’attention et l’effort sont-ils nécessaires, en la matière, quand on se trouve dans un endroit où l’on ne court aucun danger, bien au contraire.
Comme je l’ai dit, tout cela est donc bon et important. En outre, le mérite de ce qui est public vous vient en aide. De ce fait, il est certain que vous connaîtrez effectivement la réussite, quantitative et qualitative, à condition de mener votre action avec ardeur et constance. Et, nos Sages disent que : “ si tu fais des efforts, ils seront couronnés de succès ”. Je vous adresse ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles de tout cela, avec un ajout à la fois quantitatif et qualitatif, dans la joie et l’enthousiasme, au sein de cette institution sacrée, Ohaleï Yossef Its’hak, que vous avez eu le mérite et la réussite de créer dans votre ville,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav Y. Bigun, du Brésil.
(2) L’école Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch du Brésil.
19 Tamouz 5721,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Yaakov(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre du 14 Tamouz et, même après l’avoir lue, vous comprendrez que je reste surpris par cette longue interruption. Vous me décrivez l’importance de cette institution(2). Je suis étonné que vous ayez un doute, à ce sujet et que vous me posiez une telle question, surtout en cette période, après les jours favorables de la fête de la libération des 12 et 13 Tamouz. On sait, en effet, à quel point mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël, fit don de lui-même pour l’éducation basée sur les valeurs sacrées, y compris lorsque cela mit sa vie en danger. Combien plus l’attention et l’effort sont-ils nécessaires, en la matière, quand on se trouve dans un endroit où l’on ne court aucun danger, bien au contraire.
Comme je l’ai dit, tout cela est donc bon et important. En outre, le mérite de ce qui est public vous vient en aide. De ce fait, il est certain que vous connaîtrez effectivement la réussite, quantitative et qualitative, à condition de mener votre action avec ardeur et constance. Et, nos Sages disent que : “ si tu fais des efforts, ils seront couronnés de succès ”. Je vous adresse ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles de tout cela, avec un ajout à la fois quantitatif et qualitatif, dans la joie et l’enthousiasme, au sein de cette institution sacrée, Ohaleï Yossef Its’hak, que vous avez eu le mérite et la réussite de créer dans votre ville,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav Y. Bigun, du Brésil.
(2) L’école Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch du Brésil.