Lettre n° 8235

Par la grâce de D.ieu,
8 Mar ‘Hechvan 5722,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je lis, avec une grande surprise, votre lettre et votre télégramme me faisant part de votre état d’esprit, que je viens de recevoir. Et, vous comprendrez ma surprise, car vous avez personnellement observé des miracles et des merveilles évidentes, d’un bien visible et tangible. Et, ma surprise est encore plus clairement soulignée, parce que les dernières semaines portent l’empreinte du mois de Tichri, dont la fin et la conclusion ont été Sim’hat Torah, une joie débordant toutes les barrières, les limites et les entraves. De plus, la Hala’ha précise(1) que Sim’hat Torah se prolonge jusqu’au 7 ‘Hechvan, selon le Sifteï Cohen, ‘Hochen Michpat, chapitre 43, au paragraphe 47. Et, après tout cela, il est une Injonction(2) d’intérioriser cette joie et ce qui la concerne, afin de la conserver tout au long de l’année.

Pour ce qui vous concerne personnellement, comme l’établissent différents textes et comme on peut le déduire de ce qui vient d’être dit, vous devez, précisément, renforcer votre confiance en D.ieu, Qui guérit toute chair et accomplit des merveilles, au point d’éprouver une joie évidente, qui est le canal et le réceptacle permettant d’obtenir la bénédiction de D.ieu, afin que le traitement ait une immense réussite, qu’il suscite une prompte et complète guérison. J’attends, très prochainement, de bonnes nouvelles de tout cela. Avec ma bénédiction de bonne santé et pour donner ces bonnes nouvelles,

Notes

(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°8540.
(2) Voir, à son sujet, la lettre n°8224. Le mot “ Injonction ” est souligné par le Rabbi.