Lettre n° 8241
Par la grâce de D.ieu,
10 Mar ‘Hechvan 5722,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Ichaya Aryé(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 7 ‘Hechvan, dans laquelle vous me faites part de votre projet de publier le contenu de la prière, sous la forme du Sidour du Baal Chem Tov. Vous me demandez ce que j’en pense. Concrètement, il y a là deux points différents, un Sidour, d’une part, c’est-à-dire le rituel de la prière, d’autre part son contenu, ce qui peut être envisagé de deux façons, un commentaire littéral, comme celui du Baal Chem Tov ou bien des considérations générales sur la prière et sur sa nature.
S’agissant du Sidour du Baal Chem Tov, on sait que ceux qui utilisent le Sidour du Ari Zal disposent maintenant également de celui du Baal Chem Tov. A ce propos, vous consulterez la porte du Sidour du Ari Zal, du Rav C. de Rachkov. Pour ce qui est de la signification des mots selon la ‘Hassidout du Baal Chem Tov, on trouve différents textes, à ce propos, dans les ouvrages de ses disciples. Seuls quelques-uns d’entre eux mentionnent nommément le Baal Chem Tov. Pourtant, il semble qu’ils soient, pour la plupart, basés sur son enseignement, la minorité portant témoignage sur la majorité(2). En outre, un recueil sur le contenu de la prière, selon l’enseignement du Baal Chem Tov, a été établi, à partir de différents ouvrages et il est imprimé dans le “ Baal Chem Tov sur la Torah ”, du Rav Chimeon Mena’hem Mendel, le Cho’het, à la Parchat Noa’h.
Tout est effet de la divine Providence(3). J’ai donc le devoir et le mérite de vous souligner la nécessité de fixer un temps pour l’étude de la dimension profonde de la Torah, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout. Il convient donc de l’étudier chaque jour et, d’une manière accrue, pendant le Chabbat qui est saint pour D.ieu. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles,
Pour ce qui est des références citant le Baal Chem Tov, dans le Tanya, le Torah Or et le Likouteï Torah, vous consulterez les index se trouvant à la fin de ces ouvrages.
Notes
(1) Le Rav I. A. Dvurks, de Montréal.
(2) Les quelques textes citant le nom du Baal Chem Tov donnent une indication sur tous ceux qui ne le citent pas.
(3) En l’occurrence, le fait que le destinataire de la présente se soit adressé au Rabbi.
10 Mar ‘Hechvan 5722,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Ichaya Aryé(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 7 ‘Hechvan, dans laquelle vous me faites part de votre projet de publier le contenu de la prière, sous la forme du Sidour du Baal Chem Tov. Vous me demandez ce que j’en pense. Concrètement, il y a là deux points différents, un Sidour, d’une part, c’est-à-dire le rituel de la prière, d’autre part son contenu, ce qui peut être envisagé de deux façons, un commentaire littéral, comme celui du Baal Chem Tov ou bien des considérations générales sur la prière et sur sa nature.
S’agissant du Sidour du Baal Chem Tov, on sait que ceux qui utilisent le Sidour du Ari Zal disposent maintenant également de celui du Baal Chem Tov. A ce propos, vous consulterez la porte du Sidour du Ari Zal, du Rav C. de Rachkov. Pour ce qui est de la signification des mots selon la ‘Hassidout du Baal Chem Tov, on trouve différents textes, à ce propos, dans les ouvrages de ses disciples. Seuls quelques-uns d’entre eux mentionnent nommément le Baal Chem Tov. Pourtant, il semble qu’ils soient, pour la plupart, basés sur son enseignement, la minorité portant témoignage sur la majorité(2). En outre, un recueil sur le contenu de la prière, selon l’enseignement du Baal Chem Tov, a été établi, à partir de différents ouvrages et il est imprimé dans le “ Baal Chem Tov sur la Torah ”, du Rav Chimeon Mena’hem Mendel, le Cho’het, à la Parchat Noa’h.
Tout est effet de la divine Providence(3). J’ai donc le devoir et le mérite de vous souligner la nécessité de fixer un temps pour l’étude de la dimension profonde de la Torah, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout. Il convient donc de l’étudier chaque jour et, d’une manière accrue, pendant le Chabbat qui est saint pour D.ieu. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles,
Pour ce qui est des références citant le Baal Chem Tov, dans le Tanya, le Torah Or et le Likouteï Torah, vous consulterez les index se trouvant à la fin de ces ouvrages.
Notes
(1) Le Rav I. A. Dvurks, de Montréal.
(2) Les quelques textes citant le nom du Baal Chem Tov donnent une indication sur tous ceux qui ne le citent pas.
(3) En l’occurrence, le fait que le destinataire de la présente se soit adressé au Rabbi.