Lettre n° 8261
Par la grâce de D.ieu,
16 Kislev 5722,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 11 Kislev(1). J’y observe avec plaisir que votre moral est meilleur et que vous avez raffermi votre confiance en D.ieu, Qui accorde Sa Providence à chacun et à chacune. Puisse D.ieu faire qu’il en soit ainsi d’une manière sans cesse accrue. En effet, un homme se doit d’avancer, d’une étape vers l’autre, dans tous les domaines du bien. Et, de fait, le bien d’un Juif ou d’une Juive est partie intégrante du domaine de la sainteté, comme l’explique longuement la ‘Hassidout.
Vous me faites part des sentiments de votre cœur, concernant cette proposition(2). Il serait bon d’en parler à vos amies et à vos connaissances, qui se sont mariées dernièrement(3). Bien souvent, un tel sentiment(4) est fréquent et il est inspiré par la responsabilité qui est liée à une telle démarche. Je fais allusion à la vie du mariage, en général et non spécifiquement à la relation avec une certaine personne. Parfois, on peut vérifier que c’est effectivement le cas en parlant avec quelqu’un qui a déjà vécu tout cela. Pour ce qui vous concerne, il est encore plus probable que vous éprouvez ce sentiment parce que, comme vous l’écrivez, vous le(5) respectez et souhaitez le voir. Malgré cela, il convient d’effectuer une telle vérification. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela, de même que de votre mission sacrée, celle de l’enseignement basé sur les valeurs sacrées,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une jeune fille.
(2) De fiançailles.
(3) Et, possèdent donc l’expérience, en la matière.
(4) L’appréhension.
(5) Le jeune homme qui lui est proposé.
16 Kislev 5722,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 11 Kislev(1). J’y observe avec plaisir que votre moral est meilleur et que vous avez raffermi votre confiance en D.ieu, Qui accorde Sa Providence à chacun et à chacune. Puisse D.ieu faire qu’il en soit ainsi d’une manière sans cesse accrue. En effet, un homme se doit d’avancer, d’une étape vers l’autre, dans tous les domaines du bien. Et, de fait, le bien d’un Juif ou d’une Juive est partie intégrante du domaine de la sainteté, comme l’explique longuement la ‘Hassidout.
Vous me faites part des sentiments de votre cœur, concernant cette proposition(2). Il serait bon d’en parler à vos amies et à vos connaissances, qui se sont mariées dernièrement(3). Bien souvent, un tel sentiment(4) est fréquent et il est inspiré par la responsabilité qui est liée à une telle démarche. Je fais allusion à la vie du mariage, en général et non spécifiquement à la relation avec une certaine personne. Parfois, on peut vérifier que c’est effectivement le cas en parlant avec quelqu’un qui a déjà vécu tout cela. Pour ce qui vous concerne, il est encore plus probable que vous éprouvez ce sentiment parce que, comme vous l’écrivez, vous le(5) respectez et souhaitez le voir. Malgré cela, il convient d’effectuer une telle vérification. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela, de même que de votre mission sacrée, celle de l’enseignement basé sur les valeurs sacrées,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une jeune fille.
(2) De fiançailles.
(3) Et, possèdent donc l’expérience, en la matière.
(4) L’appréhension.
(5) Le jeune homme qui lui est proposé.