Lettre n° 8305
[17 Tévet 5722]
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre du 8 Tévet, de même que la suivante et je suis particulièrement surpris par le laps de temps qui s’écoule entre vos courriers. En effet, mon secrétariat(1), entre autres, a dû vous souligner la nécessité de transmettre plus souvent, ici même, des nouvelles et des comptes-rendus des actions qui ont été menées, tout au moins en les adressant à ce secrétariat et en les rédigeant brièvement. Tout d’abord, il importe, ici, que l’on dispose de ces informations. De plus, et cela n’est pas moins important, cette manière de procéder a une incidence sur les activités, sur l’enthousiasme qui y est investi, comme on l’a maintes fois dit et expliqué, y compris, me semble-t-il, dans une lettre que vous avez vous-même reçue.
Nos Sages disent(2) qu’il est inutile de se plaindre du passé. Que D.ieu fasse donc que vous vous organisiez, à l’avenir, dans toute la mesure de ce qui est nécessaire. En effet, rien ne résiste à la volonté. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°8276.
(2) Dans le traité Bera’hot 54a.
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre du 8 Tévet, de même que la suivante et je suis particulièrement surpris par le laps de temps qui s’écoule entre vos courriers. En effet, mon secrétariat(1), entre autres, a dû vous souligner la nécessité de transmettre plus souvent, ici même, des nouvelles et des comptes-rendus des actions qui ont été menées, tout au moins en les adressant à ce secrétariat et en les rédigeant brièvement. Tout d’abord, il importe, ici, que l’on dispose de ces informations. De plus, et cela n’est pas moins important, cette manière de procéder a une incidence sur les activités, sur l’enthousiasme qui y est investi, comme on l’a maintes fois dit et expliqué, y compris, me semble-t-il, dans une lettre que vous avez vous-même reçue.
Nos Sages disent(2) qu’il est inutile de se plaindre du passé. Que D.ieu fasse donc que vous vous organisiez, à l’avenir, dans toute la mesure de ce qui est nécessaire. En effet, rien ne résiste à la volonté. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°8276.
(2) Dans le traité Bera’hot 54a.