Lettre n° 8312
Par la grâce de D.ieu,
24 Tévet 5722,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre du 17 Tévet. Bien entendu, je suis intéressé par les détails relatifs à ce que vous m’écrivez. En effet, un homme et sa vie sont un assemblage de différents aspects spécifiques, semblables à ceux-ci, y compris en les aspects les plus importants. Et, comme il est nous est ordonné de croire en l’Unité, au sens le plus littéral, un homme se doit également d’unir tout ce qui le concerne, en l’unité la plus parfaite(1). Nos Sages, qui énoncent de grandes idées en de courts dictons et rapportent : “ une petite Paracha de laquelle dépendent tous les grands principes de la Torah ”, disent, à ce propos, dans le traité Bera’hot 63a : “ en toutes tes voies, reconnais-Le ” et vous consulterez l’explication qui est donnée, à ce sujet, dans les lois des opinions du grand maître, le Rambam, de même que la décision hala’hique énoncée par le Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, au chapitre 231.
Bien entendu, il m’a été particulièrement agréable de prendre connaissance, dans votre lettre, de votre bonne et ferme volonté de vous élever sur le chemin conduisant vers la maison de D.ieu, celui de l’étude de notre sainte Torah, avec le comportement qui en découle. De fait, l’assurance nous a été donnée(2) que : “ l’on vient en aide à celui qui désire se purifier ”. La réponse à vos questions figure dans les décisions hala’hiques dont le Choul’han Arou’h fait état. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) D’avoir un fil conducteur unique, en l’ensemble de son comportement.
(2) Dans le traité Yoma 38b.
24 Tévet 5722,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre du 17 Tévet. Bien entendu, je suis intéressé par les détails relatifs à ce que vous m’écrivez. En effet, un homme et sa vie sont un assemblage de différents aspects spécifiques, semblables à ceux-ci, y compris en les aspects les plus importants. Et, comme il est nous est ordonné de croire en l’Unité, au sens le plus littéral, un homme se doit également d’unir tout ce qui le concerne, en l’unité la plus parfaite(1). Nos Sages, qui énoncent de grandes idées en de courts dictons et rapportent : “ une petite Paracha de laquelle dépendent tous les grands principes de la Torah ”, disent, à ce propos, dans le traité Bera’hot 63a : “ en toutes tes voies, reconnais-Le ” et vous consulterez l’explication qui est donnée, à ce sujet, dans les lois des opinions du grand maître, le Rambam, de même que la décision hala’hique énoncée par le Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, au chapitre 231.
Bien entendu, il m’a été particulièrement agréable de prendre connaissance, dans votre lettre, de votre bonne et ferme volonté de vous élever sur le chemin conduisant vers la maison de D.ieu, celui de l’étude de notre sainte Torah, avec le comportement qui en découle. De fait, l’assurance nous a été donnée(2) que : “ l’on vient en aide à celui qui désire se purifier ”. La réponse à vos questions figure dans les décisions hala’hiques dont le Choul’han Arou’h fait état. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) D’avoir un fil conducteur unique, en l’ensemble de son comportement.
(2) Dans le traité Yoma 38b.