Lettre n° 8336

Par la grâce de D.ieu,
16 Chevat 5722,
Brooklyn,

Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Naphtali Tsvi(1),

Je vous salue et vous bénis,

Vous m’écrivez que, selon certains, une différence doit être faite(2) entre un nom qui a été ajouté et celui que l’on porte depuis le berceau. Vous verrez, à ce propos, le Choul’han Arou’h, Even Ha Ezer, chapitre 129, au paragraphe 18, affirmant que, bien au contraire, le nom qui a été modifié devient le principal. De façon générale, un homme est maître(3) des noms qu’il donne à ses enfants, de même que de celui qui lui est propre.

Notes

(1) Le Rav N. T. Gottlieb, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre 5376.
(2) Voir, à ce sujet, les lettres n°5853 et 5905.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°8237.