Lettre n° 841
Par la grâce de D.ieu,
Septième jour de ‘Hanouka 5711,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux
besoins communautaires, le Rav M. Weksler(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris avec satisfaction qu’une conférence spéciale est organisée, ce mercredi, chez vous, avec la participation de monsieur Ben Flet et d’autres importantes personnalités, afin de jeter les bases d’une aide concrète au profit du Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h.
Depuis dix ans déjà, le Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h mène une large action éducative, dans ce pays et pratiquement dans tous les coins de la terre. Cet accomplissement fondamental est réalisé sans campagne retentissante, parce qu’il bénéficie du concours d’importantes personnalités qui savent l’apprécier à sa juste valeur. Mon beau-père, le Rabbi, couvrait personnellement une large part du budget du Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h.
Puis, après le décès de mon beau-père, le Rabbi, la situation est devenue critique, au point de remettre en cause l’existence même de cette institution. Néanmoins, son action est pleinement maintenue, parce que telle était la volonté de mon beau-père, le Rabbi. De plus, les circonstances ont rendu nécessaire une extension de son activité en Afrique du nord, où nous avons créé un réseau scolaire pour les enfants et les jeunes, portant le nom du fondateur, Ohaleï Yossef Its’hak(2).
Il est impossible de décrire le mérite considérable que constitue le fait de prendre part à cette œuvre d’illumination des coeurs juifs et des maisons juives, par la clarté et la chaleur de notre sainte Torah et des Mitsvot.
La fête de ‘Hanouka que nous célébrons actuellement doit nous inspirer des actions concrètes. La situation est très critique et nous disposons de très peu de temps. Nous souhaitons que des bons et fructueux résultats découlent de cette conférence, de manière concrète. Et j’espère recevoir de vos bonnes nouvelles.
Mon beau-père, le Rabbi, continue à diriger cette institution et il vous accordera donc sûrement sa bénédiction, à vous et à votre famille, de même qu’à tous ceux qui prennent part à votre action au profit du Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h.
Que D.ieu satisfasse tous vos besoins, personnels et communautaires, en particulier ceux qui sont au profit du Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h. Qu’Il vous accorde la santé et la prospérité matérielle.
Avec ma bénédiction à l’occasion de ‘Hanouka,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Voir la lettre précédente.
(2) Voir, à ce propos les lettres 695, 703, 723, 726, 758, 759, 785, 786, 787, 818, 821, 822 et 824.
Septième jour de ‘Hanouka 5711,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux
besoins communautaires, le Rav M. Weksler(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris avec satisfaction qu’une conférence spéciale est organisée, ce mercredi, chez vous, avec la participation de monsieur Ben Flet et d’autres importantes personnalités, afin de jeter les bases d’une aide concrète au profit du Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h.
Depuis dix ans déjà, le Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h mène une large action éducative, dans ce pays et pratiquement dans tous les coins de la terre. Cet accomplissement fondamental est réalisé sans campagne retentissante, parce qu’il bénéficie du concours d’importantes personnalités qui savent l’apprécier à sa juste valeur. Mon beau-père, le Rabbi, couvrait personnellement une large part du budget du Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h.
Puis, après le décès de mon beau-père, le Rabbi, la situation est devenue critique, au point de remettre en cause l’existence même de cette institution. Néanmoins, son action est pleinement maintenue, parce que telle était la volonté de mon beau-père, le Rabbi. De plus, les circonstances ont rendu nécessaire une extension de son activité en Afrique du nord, où nous avons créé un réseau scolaire pour les enfants et les jeunes, portant le nom du fondateur, Ohaleï Yossef Its’hak(2).
Il est impossible de décrire le mérite considérable que constitue le fait de prendre part à cette œuvre d’illumination des coeurs juifs et des maisons juives, par la clarté et la chaleur de notre sainte Torah et des Mitsvot.
La fête de ‘Hanouka que nous célébrons actuellement doit nous inspirer des actions concrètes. La situation est très critique et nous disposons de très peu de temps. Nous souhaitons que des bons et fructueux résultats découlent de cette conférence, de manière concrète. Et j’espère recevoir de vos bonnes nouvelles.
Mon beau-père, le Rabbi, continue à diriger cette institution et il vous accordera donc sûrement sa bénédiction, à vous et à votre famille, de même qu’à tous ceux qui prennent part à votre action au profit du Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h.
Que D.ieu satisfasse tous vos besoins, personnels et communautaires, en particulier ceux qui sont au profit du Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h. Qu’Il vous accorde la santé et la prospérité matérielle.
Avec ma bénédiction à l’occasion de ‘Hanouka,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Voir la lettre précédente.
(2) Voir, à ce propos les lettres 695, 703, 723, 726, 758, 759, 785, 786, 787, 818, 821, 822 et 824.