Lettre n° 8491
Par la grâce de D.ieu,
8 Mena’hem Av 5722,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre(1) de ce mardi, “ lorsque deux fois fut dit le mot bon ”(2). En un moment propice, on mentionnera votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que le souhait de votre cœur soit positivement exaucé. Il est sûrement inutile de vous souligner qu’un ajout à ce qui concerne la Torah et les Mitsvot renforce les bénédictions de D.ieu. En la matière, un comportement, aussi bon soit-il, peu toujours être amélioré.
Vous envisagez l’adoption d’un enfant juif. Il ne peut en être ainsi que dans des cas exceptionnels, quand on est absolument certain que ses parents respectaient scrupuleusement la Torah et les Mitsvot. En l’absence d’une telle certitude, il est préférable que sa mère ne soit pas juive. En convertissant l’enfant, on ôte ainsi tous les doutes et l’on résout tous les problèmes. Avec ma bénédiction afin que vous me donniez de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
N. B. : A n’en pas douter, vous respectez l’usage positif des femmes juives qui consiste à donner de la Tsédaka, chaque fois qu’on allume les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes.
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) Lors du troisième jour de la création.
8 Mena’hem Av 5722,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre(1) de ce mardi, “ lorsque deux fois fut dit le mot bon ”(2). En un moment propice, on mentionnera votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que le souhait de votre cœur soit positivement exaucé. Il est sûrement inutile de vous souligner qu’un ajout à ce qui concerne la Torah et les Mitsvot renforce les bénédictions de D.ieu. En la matière, un comportement, aussi bon soit-il, peu toujours être amélioré.
Vous envisagez l’adoption d’un enfant juif. Il ne peut en être ainsi que dans des cas exceptionnels, quand on est absolument certain que ses parents respectaient scrupuleusement la Torah et les Mitsvot. En l’absence d’une telle certitude, il est préférable que sa mère ne soit pas juive. En convertissant l’enfant, on ôte ainsi tous les doutes et l’on résout tous les problèmes. Avec ma bénédiction afin que vous me donniez de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
N. B. : A n’en pas douter, vous respectez l’usage positif des femmes juives qui consiste à donner de la Tsédaka, chaque fois qu’on allume les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes.
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) Lors du troisième jour de la création.