Lettre n° 8509
Par la grâce de D.ieu,
4 Elloul 5722,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous envisagez la fixation du mariage pendant le mois d’Elloul(1). Comme l’indique la coutume juive, rapportée par différents textes et qui est donc partie intégrante de la Torah, Elloul est un mois particulièrement propice pour cela. Bien plus, le mariage peut même être fixé pendant la seconde moitié du mois(2), comme l’indique le Sdeï ‘Hémed, dans le “ recueil de lois ”, à l’article : “ les mariés ”. Vous faites remarquer que cette période est, avant tout, consacrée à l’étude publique. Or, vous consulterez, à ce propos, le Sdeï ‘Hémed qui, bien au contraire, considère qu’il y a là un élément explicatif, une raison logique. Vous verrez aussi ce que dit le Birkeï Yossef, cité par le Maté Ephraïm, au chapitre 581, dans le Elef La Maté, au paragraphe 16. Selon lui, on contraire, on intensifie les prières et les supplications, pendant le mois d’Elloul, ce qui a pour effet de réduire quelque peu le temps consacré à l’étude. En tout état de cause, il importe avant tout de prendre en compte la coutume en vigueur, comme je l’ai dit.
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°7722.
(2) Ce qui n’est pas le cas pour les autres mois, à l’exception de Kislev et d’Adar.
4 Elloul 5722,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous envisagez la fixation du mariage pendant le mois d’Elloul(1). Comme l’indique la coutume juive, rapportée par différents textes et qui est donc partie intégrante de la Torah, Elloul est un mois particulièrement propice pour cela. Bien plus, le mariage peut même être fixé pendant la seconde moitié du mois(2), comme l’indique le Sdeï ‘Hémed, dans le “ recueil de lois ”, à l’article : “ les mariés ”. Vous faites remarquer que cette période est, avant tout, consacrée à l’étude publique. Or, vous consulterez, à ce propos, le Sdeï ‘Hémed qui, bien au contraire, considère qu’il y a là un élément explicatif, une raison logique. Vous verrez aussi ce que dit le Birkeï Yossef, cité par le Maté Ephraïm, au chapitre 581, dans le Elef La Maté, au paragraphe 16. Selon lui, on contraire, on intensifie les prières et les supplications, pendant le mois d’Elloul, ce qui a pour effet de réduire quelque peu le temps consacré à l’étude. En tout état de cause, il importe avant tout de prendre en compte la coutume en vigueur, comme je l’ai dit.
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°7722.
(2) Ce qui n’est pas le cas pour les autres mois, à l’exception de Kislev et d’Adar.