Lettre n° 8545
Par la grâce de D.ieu,
19 Mar ‘Hechvan 5723,
Brooklyn,
A mon proche parent, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav C. Ha Cohen(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je vous remercie de m’avoir transmis la bonne nouvelle de votre retour chez vous(2), en un moment bon et fructueux. Puisse D.ieu faire que vous ayez une complète et prompte guérison.
Comme l’enseigne l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, il convient de vivre avec la Sidra de la semaine. En l’occurrence, le début et le commencement de celle de Vayéra est : “ L’Eternel se révéla à lui… à la chaleur du jour ”. Nos Sages expliquent qu’à la fois : “ Il se révéla à lui ”(3) et : “ à la chaleur du jour ” furent pour la guérison de notre père Avraham(4). Avec mes respects et ma bénédiction pour un bon Chabbat, car “ on ne se plaint pas pendant le Chabbat et la guérison est proche ”(5), en saluant tous les membres de votre famille,
Notes
(1) Le Rav Chlomo Horenstein, de New York. Voir, à son sujet, les lettres n°2336 et 5205.
(2) A la suite d’une maladie.
(3) Le Rabbi note, en bas de page : “ Il n’est pas précisé : ‘à Avraham’, car ces termes s’appliquent à chaque Juif, comme le souligne le Meor Enaïm, au début de la Parchat Vayéra ”.
(4) C’est dans ce but que D.ieu se révéla à lui et dans ce but qu’Il fit que la journée soit chaude.
(5) Selon le texte de la bénédiction qui est dite pour un malade pendant le Chabbat.
19 Mar ‘Hechvan 5723,
Brooklyn,
A mon proche parent, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav C. Ha Cohen(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je vous remercie de m’avoir transmis la bonne nouvelle de votre retour chez vous(2), en un moment bon et fructueux. Puisse D.ieu faire que vous ayez une complète et prompte guérison.
Comme l’enseigne l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, il convient de vivre avec la Sidra de la semaine. En l’occurrence, le début et le commencement de celle de Vayéra est : “ L’Eternel se révéla à lui… à la chaleur du jour ”. Nos Sages expliquent qu’à la fois : “ Il se révéla à lui ”(3) et : “ à la chaleur du jour ” furent pour la guérison de notre père Avraham(4). Avec mes respects et ma bénédiction pour un bon Chabbat, car “ on ne se plaint pas pendant le Chabbat et la guérison est proche ”(5), en saluant tous les membres de votre famille,
Notes
(1) Le Rav Chlomo Horenstein, de New York. Voir, à son sujet, les lettres n°2336 et 5205.
(2) A la suite d’une maladie.
(3) Le Rabbi note, en bas de page : “ Il n’est pas précisé : ‘à Avraham’, car ces termes s’appliquent à chaque Juif, comme le souligne le Meor Enaïm, au début de la Parchat Vayéra ”.
(4) C’est dans ce but que D.ieu se révéla à lui et dans ce but qu’Il fit que la journée soit chaude.
(5) Selon le texte de la bénédiction qui est dite pour un malade pendant le Chabbat.