Lettre n° 8548
[24 Mar ‘Hechvan 5723]
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre de l’issue du Chabbat 20 Mar ‘Hechvan, date de la naissance du Rabbi Rachab. Vous me faites part de la demande d’aide(1) émanant d’une des institutions ‘Habad de notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie.
Néanmoins, vous connaissez le principe(2) selon lequel on n’échange pas une cause de Tsédaka contre une autre. Pour autant, vous avez, en la matière, reçu une demande nouvelle, qui s’ajoute aux autres et il est donc certain(3) que vous disposez désormais de moyens accrus, vous permettant une plus large contribution à la Tsédaka. En effet, “ le Saint béni soit-Il n’agit pas avec félonie envers Ses créatures ”(4), en particulier selon la définition que donne l’enseignement du Baal Chem Tov de la Providence divine, qui s’applique jusqu’au moindre détail, a fortiori à tout ce qui concerne la Torah et les Mitsvot. Tout cela est bien évident. En conséquence, vous multiplierez(3) vos actions afin de venir en aide à cette institution qui vous sollicite.
Notes
(1) Le destinataire de cette lettre adressait une contribution financière à une certaine institution. Puis, ayant été sollicité par une autre, il proposait au Rabbi de réduire sa participation à la première afin d’accéder à la demande de la seconde.
(2) Selon le Tour et Choul’han Arou’h, Yoré Déa, au chapitre, au début du chapitre 259.
(3) Le Rabbi souligne les mots : “ certain ” et : “ multiplierez ”.
(4) Selon le traité Avoda Zara 3a.
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre de l’issue du Chabbat 20 Mar ‘Hechvan, date de la naissance du Rabbi Rachab. Vous me faites part de la demande d’aide(1) émanant d’une des institutions ‘Habad de notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie.
Néanmoins, vous connaissez le principe(2) selon lequel on n’échange pas une cause de Tsédaka contre une autre. Pour autant, vous avez, en la matière, reçu une demande nouvelle, qui s’ajoute aux autres et il est donc certain(3) que vous disposez désormais de moyens accrus, vous permettant une plus large contribution à la Tsédaka. En effet, “ le Saint béni soit-Il n’agit pas avec félonie envers Ses créatures ”(4), en particulier selon la définition que donne l’enseignement du Baal Chem Tov de la Providence divine, qui s’applique jusqu’au moindre détail, a fortiori à tout ce qui concerne la Torah et les Mitsvot. Tout cela est bien évident. En conséquence, vous multiplierez(3) vos actions afin de venir en aide à cette institution qui vous sollicite.
Notes
(1) Le destinataire de cette lettre adressait une contribution financière à une certaine institution. Puis, ayant été sollicité par une autre, il proposait au Rabbi de réduire sa participation à la première afin d’accéder à la demande de la seconde.
(2) Selon le Tour et Choul’han Arou’h, Yoré Déa, au chapitre, au début du chapitre 259.
(3) Le Rabbi souligne les mots : “ certain ” et : “ multiplierez ”.
(4) Selon le traité Avoda Zara 3a.