Lettre n° 8608
Par la grâce de D.ieu,
16 Adar 5723,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, le Rav Tsvi(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 12 Adar. En un moment propice, on mentionnera votre nom et celui de votre épouse près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez. Nous venons de vivre les jours de Pourim, desquels il est dit : “ leur souvenir ne disparaîtra pas de leur descendance ” et nos Sages expliquent(2) que “ toutes les fêtes disparaîtront(3), mais les jours de Pourim ne disparaîtront pas ”.
De fait, le but du souvenir est d’inspirer toutes les forces de l’âme, jusqu’à l’action concrète et, bien plus, c’est cette action qui est essentielle. Puisse D.ieu faire qu’il en soit ainsi dans les quatre domaines qui furent obtenus “ en ces jours-là, à cette époque-ci ”, c’est-à-dire : “ la lumière, la joie, l’allégresse et l’honneur ”, au sens littéral et selon l’interprétation qui en est donnée, “ la joie, c’est la Torah ”(4), “ l’honneur, ce sont les Tefillin ” et “ toute la Torah a été comparée aux Tefillin ”(5), l’ensemble des Mitsvot, jusqu’à ce que nous ayons le mérite de rapprocher une délivrance de l’autre(6), celle à l’issue de laquelle “ nous sommes encore les serviteurs de A’hachvéroch ” et la délivrance véritable et complète, “ comme aux jours de ta sortie d’Egypte ”. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav T. Freydin, de Tel Aviv. Voir, à son sujet, les lettres n°6833 et 7514.
(2) Dans le Midrash Michlé, chapitre 9, au paragraphe 2.
(3) Dans le monde futur.
(4) Selon le traité Meguila 16b.
(5) Selon le traité Kiddouchin 35a.
(6) Selon le traité Meguila 6b.
16 Adar 5723,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, le Rav Tsvi(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 12 Adar. En un moment propice, on mentionnera votre nom et celui de votre épouse près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez. Nous venons de vivre les jours de Pourim, desquels il est dit : “ leur souvenir ne disparaîtra pas de leur descendance ” et nos Sages expliquent(2) que “ toutes les fêtes disparaîtront(3), mais les jours de Pourim ne disparaîtront pas ”.
De fait, le but du souvenir est d’inspirer toutes les forces de l’âme, jusqu’à l’action concrète et, bien plus, c’est cette action qui est essentielle. Puisse D.ieu faire qu’il en soit ainsi dans les quatre domaines qui furent obtenus “ en ces jours-là, à cette époque-ci ”, c’est-à-dire : “ la lumière, la joie, l’allégresse et l’honneur ”, au sens littéral et selon l’interprétation qui en est donnée, “ la joie, c’est la Torah ”(4), “ l’honneur, ce sont les Tefillin ” et “ toute la Torah a été comparée aux Tefillin ”(5), l’ensemble des Mitsvot, jusqu’à ce que nous ayons le mérite de rapprocher une délivrance de l’autre(6), celle à l’issue de laquelle “ nous sommes encore les serviteurs de A’hachvéroch ” et la délivrance véritable et complète, “ comme aux jours de ta sortie d’Egypte ”. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav T. Freydin, de Tel Aviv. Voir, à son sujet, les lettres n°6833 et 7514.
(2) Dans le Midrash Michlé, chapitre 9, au paragraphe 2.
(3) Dans le monde futur.
(4) Selon le traité Meguila 16b.
(5) Selon le traité Kiddouchin 35a.
(6) Selon le traité Meguila 6b.