Lettre n° 8616
Par la grâce de D.ieu,
17 Nissan 5723,
Brooklyn,
Au jeune Mena’hem Mendel(1) Ha Cohen,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu la Haggadah que vous avez bien voulu envoyer ici et nos Sages disent que : “ le vin est à son propriétaire, mais l’on exprime sa reconnaissance à celui qui le sert ”, dès lors que celui-ci possède le libre-arbitre(2). Vous consulterez, à ce sujet, le Séfer Ha Mitsvot du Tséma’h Tsédek, à la Mitsva de la circoncision, fin du chapitre 3.
Pour passer d’une idée à une autre tout en restant dans le même contexte, je dirai que l’importance du premier soir de Pessa’h, quand on lit la Haggadah, réside dans le fait qu’à ce moment : “ le Roi, Roi suprême, le Saint béni soit-Il se révéla à eux, dans toute Son Essence(3) ”. Et, ceci est un encouragement de plus pour étudier la dimension profonde de la Torah, comme l’explique le Zohar, tome 3, à la page 152a. C’est bien évident.
Ces jours sont propices pour obtenir un tel résultat et l’on connaît les propos de nos maîtres et chefs, à ce sujet. Avec ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles,
Du fait de la sainteté de la fête, la Rabbi Chlita n’a pas signé la présente(4).
Notes
(1) M. M. Harrach, de New York.
(2) Et, peut donc décider de ne pas le donner.
(3) Le Rabbi souligne les mots : “ dans toute Son Essence ”.
(4) Cette mention est ajoutée par le secrétariat du Rabbi.
17 Nissan 5723,
Brooklyn,
Au jeune Mena’hem Mendel(1) Ha Cohen,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu la Haggadah que vous avez bien voulu envoyer ici et nos Sages disent que : “ le vin est à son propriétaire, mais l’on exprime sa reconnaissance à celui qui le sert ”, dès lors que celui-ci possède le libre-arbitre(2). Vous consulterez, à ce sujet, le Séfer Ha Mitsvot du Tséma’h Tsédek, à la Mitsva de la circoncision, fin du chapitre 3.
Pour passer d’une idée à une autre tout en restant dans le même contexte, je dirai que l’importance du premier soir de Pessa’h, quand on lit la Haggadah, réside dans le fait qu’à ce moment : “ le Roi, Roi suprême, le Saint béni soit-Il se révéla à eux, dans toute Son Essence(3) ”. Et, ceci est un encouragement de plus pour étudier la dimension profonde de la Torah, comme l’explique le Zohar, tome 3, à la page 152a. C’est bien évident.
Ces jours sont propices pour obtenir un tel résultat et l’on connaît les propos de nos maîtres et chefs, à ce sujet. Avec ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles,
Du fait de la sainteté de la fête, la Rabbi Chlita n’a pas signé la présente(4).
Notes
(1) M. M. Harrach, de New York.
(2) Et, peut donc décider de ne pas le donner.
(3) Le Rabbi souligne les mots : “ dans toute Son Essence ”.
(4) Cette mention est ajoutée par le secrétariat du Rabbi.