Lettre n° 8641
Par la grâce de D.ieu,
3 Tamouz 5723,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Moché(1) Ha Cohen,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu de vos nouvelles avec plaisir, il y a quelques temps, par les Rabbanim délégués, le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, Rav Chnéor Zalman Ha Lévi Duchman et le ‘Hassid, Rav Kaddish Romanov, qui ont visité votre ville et m’ont également transmis votre demande de bénédiction. En un moment propice, j’ai mentionné votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, selon le contenu de votre requête. Puisse D.ieu faire que vous m’en donniez de bonnes nouvelles.
Nous sommes en Tamouz, mois de la libération de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël, qui est aussi notre propre libération, car “ le corps suit la tête ”(2). Puisse donc D.ieu faire que chacun d’entre nous, au sein de tout Israël, soit délivré de tout ce qui le trouble, qu’il puisse servir D.ieu dans la joie et dans l’enthousiasme. Et, cette délivrance individuelle sera la préparation de la délivrance collective, par notre juste Machia’h, très prochainement. Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête de la libération et pour me donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
C. M. Simpson,
Notes
(1) Le Rav M. Shayevitch, de Chicago. Voir, à son sujet, la lettre n°7471.
(2) Selon le traité Erouvin 41a.
3 Tamouz 5723,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Moché(1) Ha Cohen,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu de vos nouvelles avec plaisir, il y a quelques temps, par les Rabbanim délégués, le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, Rav Chnéor Zalman Ha Lévi Duchman et le ‘Hassid, Rav Kaddish Romanov, qui ont visité votre ville et m’ont également transmis votre demande de bénédiction. En un moment propice, j’ai mentionné votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, selon le contenu de votre requête. Puisse D.ieu faire que vous m’en donniez de bonnes nouvelles.
Nous sommes en Tamouz, mois de la libération de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël, qui est aussi notre propre libération, car “ le corps suit la tête ”(2). Puisse donc D.ieu faire que chacun d’entre nous, au sein de tout Israël, soit délivré de tout ce qui le trouble, qu’il puisse servir D.ieu dans la joie et dans l’enthousiasme. Et, cette délivrance individuelle sera la préparation de la délivrance collective, par notre juste Machia’h, très prochainement. Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête de la libération et pour me donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
C. M. Simpson,
Notes
(1) Le Rav M. Shayevitch, de Chicago. Voir, à son sujet, la lettre n°7471.
(2) Selon le traité Erouvin 41a.