Lettre n° 8649
Par la grâce de D.ieu,
23 Tamouz 5723,
Brooklyn,
A Its’hak Eléazar(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous m’interrogez sur les décisions hala’hiques de l’Admour Hazaken, lorsqu’une divergence est constatée entre son Choul’han Arou’h et son Siddour. Comment procéder en pareil cas ?
On sait que le Siddour a été rédigé après le Choul’han Arou’h. C’est donc la conclusion du Siddour qui doit être adoptée. Vous consulterez, à ce sujet, le Chaar Ha Collel, commentaire sur le Siddour du Rav Lawut et, de manière plus détaillée, les décisions hala’hiques du Siddour, du Rav Naé, qui recense toutes celles pour lesquelles on constate une divergence entre le Choul’han Arou’h et le Siddour.
Tout est effet de la divine Providence(2). J’ai donc le devoir et le mérite de vous souligner la nécessité de fixer un temps pour l’étude de la dimension profonde de la Torah, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout. Ce temps sera quotidien et il sera accru pendant le Chabbat, qui est saint pour D.ieu. En outre, vous avez sûrement connaissance des trois études établies qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Tout au moins les adopterez-vous à l’avenir. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) I. E. Moskovitch, de Mount Kisco.
(2) Y compris le fait qu’en l’occurrence, cette question ait été posée au Rabbi.
23 Tamouz 5723,
Brooklyn,
A Its’hak Eléazar(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous m’interrogez sur les décisions hala’hiques de l’Admour Hazaken, lorsqu’une divergence est constatée entre son Choul’han Arou’h et son Siddour. Comment procéder en pareil cas ?
On sait que le Siddour a été rédigé après le Choul’han Arou’h. C’est donc la conclusion du Siddour qui doit être adoptée. Vous consulterez, à ce sujet, le Chaar Ha Collel, commentaire sur le Siddour du Rav Lawut et, de manière plus détaillée, les décisions hala’hiques du Siddour, du Rav Naé, qui recense toutes celles pour lesquelles on constate une divergence entre le Choul’han Arou’h et le Siddour.
Tout est effet de la divine Providence(2). J’ai donc le devoir et le mérite de vous souligner la nécessité de fixer un temps pour l’étude de la dimension profonde de la Torah, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout. Ce temps sera quotidien et il sera accru pendant le Chabbat, qui est saint pour D.ieu. En outre, vous avez sûrement connaissance des trois études établies qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Tout au moins les adopterez-vous à l’avenir. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) I. E. Moskovitch, de Mount Kisco.
(2) Y compris le fait qu’en l’occurrence, cette question ait été posée au Rabbi.