Lettre n° 8751
Par la grâce de D.ieu,
Roch ‘Hodech Chevat 5724,
Brooklyn, New York,
A l’attention de monsieur Yossef Dekel(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, dans laquelle vous m’indiquiez que vous m’avez adressé les livres que vous avez publiés. J’ai donc attendu de les recevoir pour vous en accuser réception et c’est maintenant chose faite. Je vous remercie donc pour ces livres. Un simple coup d’œil suffit pour établir que beaucoup de travail y a été investi. Bien plus, en l’occurrence, il y a non seulement du travail, mais aussi de la compétence.
J’ai pris connaissance, avec un plaisir particulier, dans votre lettre, des sentiments de votre cœur à propos du 19 Kislev, date de la libération de l’Admour Hazaken, la cent cinquantième année depuis son décès venant de s’achever. Puisse D.ieu faire que son enseignement, dans lequel il souligne tout particulièrement la nécessité de l’action concrète(2), montrant que l’étude et la pratique sont deux dimensions indissociables, exerce son influence sur chacun d’entre nous et vous apporte la motivation pour tous les jours de l’année. Bien plus, nous sommes à quelques jours de l’anniversaire du décès de mon beau-père, le Rabbi, qui sera le 10 Chevat. Celui-ci était son successeur, poursuivant ses voies et puisse donc son mérite protéger chacun d’entre nous, au sein de tout Israël. Avec mes respects et ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles, toujours et tous les jours,
Notes
(1) Voir, à son sujet, la lettre n°8699.
(2) Voir, notamment, la première partie du Tanya, au chapitre 35.
Roch ‘Hodech Chevat 5724,
Brooklyn, New York,
A l’attention de monsieur Yossef Dekel(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, dans laquelle vous m’indiquiez que vous m’avez adressé les livres que vous avez publiés. J’ai donc attendu de les recevoir pour vous en accuser réception et c’est maintenant chose faite. Je vous remercie donc pour ces livres. Un simple coup d’œil suffit pour établir que beaucoup de travail y a été investi. Bien plus, en l’occurrence, il y a non seulement du travail, mais aussi de la compétence.
J’ai pris connaissance, avec un plaisir particulier, dans votre lettre, des sentiments de votre cœur à propos du 19 Kislev, date de la libération de l’Admour Hazaken, la cent cinquantième année depuis son décès venant de s’achever. Puisse D.ieu faire que son enseignement, dans lequel il souligne tout particulièrement la nécessité de l’action concrète(2), montrant que l’étude et la pratique sont deux dimensions indissociables, exerce son influence sur chacun d’entre nous et vous apporte la motivation pour tous les jours de l’année. Bien plus, nous sommes à quelques jours de l’anniversaire du décès de mon beau-père, le Rabbi, qui sera le 10 Chevat. Celui-ci était son successeur, poursuivant ses voies et puisse donc son mérite protéger chacun d’entre nous, au sein de tout Israël. Avec mes respects et ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles, toujours et tous les jours,
Notes
(1) Voir, à son sujet, la lettre n°8699.
(2) Voir, notamment, la première partie du Tanya, au chapitre 35.