Lettre n° 8765
Par la grâce de D.ieu,
20 Chevat 5724,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai lu, avec beaucoup d’étonnement, votre lettre de ce mardi. Ainsi, il vous semble que l’on ne vous a pas donné la bonne information, délibérément ou non. En tout état de cause, le contenu de votre lettre a été transmis à la direction de la Yechiva, qui possède toute compétence en la matière. Je dois cependant vous exprimer ma surprise : comment un Juif qui a observé les bienfaits de D.ieu, qui a été sauvé des mains étrangères par Ses miracles et qui, en outre, a un bon fils, possédant de larges capacités, peut-il chercher à se persuader et à se convaincre que ce fils doit donner une partie de ses jeunes années, lesquelles devraient être réservés à l’étude de notre sainte Torah, Torah de vie, pour le consacrer à… ? Car, tous les “ raisonnements ” destinés à justifier une telle attitude ne concernent pas ceux qui ont observé et vécu une telle période, puisse D.ieu faire qu’elle ne se reproduise plus. Ceux-là ne devraient pas se laisser abuser par leur mauvais penchant.
Je ne souhaite pas en dire plus, puisque la compétence, comme je l’ai dit, appartient à la direction de la Yechiva et aux parents. Toutefois, vous avez vous-même abordé cette question et vous avez souhaité établir une relation avec les dix Commandements, “ honore ton père et ta mère ”. Je ne peux donc pas placer tout cela sous silence et ne pas exprimer mon sentiment, comme je l’ai fait ci-dessus. Puisse D.ieu faire que chaque Juif, homme ou femme, perçoive enfin la “ vérité vraie ”, celle de notre sainte Torah, Torah de vérité, qu’il mette en pratique ses Mitsvot, desquelles il est dit : “ On vivra par elles ”, qu’il s’emploie à les diffuser autour de lui dans toute la mesure de ses moyens, avant tout auprès des enfants, envers lesquels ont doit ressentir une profonde responsabilité morale et un engagement personnel, c’est bien évident. Avec ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
20 Chevat 5724,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai lu, avec beaucoup d’étonnement, votre lettre de ce mardi. Ainsi, il vous semble que l’on ne vous a pas donné la bonne information, délibérément ou non. En tout état de cause, le contenu de votre lettre a été transmis à la direction de la Yechiva, qui possède toute compétence en la matière. Je dois cependant vous exprimer ma surprise : comment un Juif qui a observé les bienfaits de D.ieu, qui a été sauvé des mains étrangères par Ses miracles et qui, en outre, a un bon fils, possédant de larges capacités, peut-il chercher à se persuader et à se convaincre que ce fils doit donner une partie de ses jeunes années, lesquelles devraient être réservés à l’étude de notre sainte Torah, Torah de vie, pour le consacrer à… ? Car, tous les “ raisonnements ” destinés à justifier une telle attitude ne concernent pas ceux qui ont observé et vécu une telle période, puisse D.ieu faire qu’elle ne se reproduise plus. Ceux-là ne devraient pas se laisser abuser par leur mauvais penchant.
Je ne souhaite pas en dire plus, puisque la compétence, comme je l’ai dit, appartient à la direction de la Yechiva et aux parents. Toutefois, vous avez vous-même abordé cette question et vous avez souhaité établir une relation avec les dix Commandements, “ honore ton père et ta mère ”. Je ne peux donc pas placer tout cela sous silence et ne pas exprimer mon sentiment, comme je l’ai fait ci-dessus. Puisse D.ieu faire que chaque Juif, homme ou femme, perçoive enfin la “ vérité vraie ”, celle de notre sainte Torah, Torah de vérité, qu’il mette en pratique ses Mitsvot, desquelles il est dit : “ On vivra par elles ”, qu’il s’emploie à les diffuser autour de lui dans toute la mesure de ses moyens, avant tout auprès des enfants, envers lesquels ont doit ressentir une profonde responsabilité morale et un engagement personnel, c’est bien évident. Avec ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,