Lettre n° 8817
Par la grâce de D.ieu,
Pessa’h Chéni 5724,
Brooklyn, New York,
Au grand Rav, distingué et agréable ‘Hassid qui craint
D.ieu, se consacre aux besoins communautaires, a de
bons comportements, le Rav Mena’hem Ben Tsion(1),
Je vous salue et vous bénis,
On introduit son propos par une bénédiction et en exprimant sa reconnaissance. Votre lettre indique que votre état de santé s’est amélioré. D.ieu fasse donc que vous ayez une complète et prompte guérison. Conformément à votre demande, je mentionnerai encore une fois votre nom près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Le mérite de vos actions destinées à renforcer la Torah et à la diffuser vous protégera, afin que le souhait de votre cœur soit exaucé d’une manière positive.
Bien entendu, il est douloureux de constater à quel point le fonds de sauvetage a périclité, alors que les besoins et les exigences sont de plus en plus larges. A n’en pas douter, un responsable communautaire comme vous n’a pas besoin qu’on lui donne des conseils sur les moyens de combler le manque par d’autres ressources. En effet, à ceux qui sont dans le besoin, il importe peu de savoir quelle est l’origine de l’aide qui leur est apportée.
A propos de Pessa’h Chéni et pour passer d’une idée à une autre tout en restant dans le même contexte, on connaît le dicton de mon beau-père, le Rabbi(2), selon lequel l’enseignement de cette fête est le suivant : pour un Juif, “ rien n’est jamais perdu ”. Bien au contraire, la seconde opportunité est, bien souvent, plus forte que la première, dans ses aspects spécifiques. C’est ce que l’on peut déduire du fait que, pour le second Pessa’h, il n’était pas nécessaire de détruire le ‘Hamets au préalable. Avec mes respects et ma bénédiction, en particulier pour une prompte et complète guérison,
Notes
(1) Le Rav M. B. T. Zaks, de Chicago. Voir, à son sujet, la lettre n°8631.
(2) Voir les deux lettres précédentes.
Pessa’h Chéni 5724,
Brooklyn, New York,
Au grand Rav, distingué et agréable ‘Hassid qui craint
D.ieu, se consacre aux besoins communautaires, a de
bons comportements, le Rav Mena’hem Ben Tsion(1),
Je vous salue et vous bénis,
On introduit son propos par une bénédiction et en exprimant sa reconnaissance. Votre lettre indique que votre état de santé s’est amélioré. D.ieu fasse donc que vous ayez une complète et prompte guérison. Conformément à votre demande, je mentionnerai encore une fois votre nom près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Le mérite de vos actions destinées à renforcer la Torah et à la diffuser vous protégera, afin que le souhait de votre cœur soit exaucé d’une manière positive.
Bien entendu, il est douloureux de constater à quel point le fonds de sauvetage a périclité, alors que les besoins et les exigences sont de plus en plus larges. A n’en pas douter, un responsable communautaire comme vous n’a pas besoin qu’on lui donne des conseils sur les moyens de combler le manque par d’autres ressources. En effet, à ceux qui sont dans le besoin, il importe peu de savoir quelle est l’origine de l’aide qui leur est apportée.
A propos de Pessa’h Chéni et pour passer d’une idée à une autre tout en restant dans le même contexte, on connaît le dicton de mon beau-père, le Rabbi(2), selon lequel l’enseignement de cette fête est le suivant : pour un Juif, “ rien n’est jamais perdu ”. Bien au contraire, la seconde opportunité est, bien souvent, plus forte que la première, dans ses aspects spécifiques. C’est ce que l’on peut déduire du fait que, pour le second Pessa’h, il n’était pas nécessaire de détruire le ‘Hamets au préalable. Avec mes respects et ma bénédiction, en particulier pour une prompte et complète guérison,
Notes
(1) Le Rav M. B. T. Zaks, de Chicago. Voir, à son sujet, la lettre n°8631.
(2) Voir les deux lettres précédentes.