Lettre n° 8840
Par la grâce de D.ieu,
28 Sivan 5724,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 26 Sivan, dans laquelle vous m’interrogez à propos de votre neveu qui souhaite poursuivre ses études, pendant quelques années, à la Yechiva. Vous me demandez s’il pourra ensuite intégrer un kibboutz religieux. Néanmoins, cette question se posera uniquement après qu’il ait passé un certain temps à la Yechiva, se consacrant à l’étude de notre sainte Torah, Torah de vie. Selon les propos de l’Admour Hazaken, dans son saint Tanya, la Torah est définie comme le pain et l’aliment de l’âme. En l’étudiant de la manière qui convient, on l’unifie à l’âme de celui qui se consacre à cette activité, au point de ne former qu’une seule et même entité. Dès lors, elle devient réellement la nourriture de cette âme, vivifiée par la Vie de la vie, par l’En Sof, béni soit-Il, comme l’explique le chapitre 5 du Tanya.
En conséquence, il n’y a pas lieu, à mon sens, de décider dès maintenant ce qu’il fera à l’issue de cette étude. On peut espérer qu’il connaîtra l’élévation, grâce à elle. Il se décidera donc en fonction de la situation qui sera alors la sienne. J’ai bon espoir que vous avez vous-même connaissance des événements des 12 et 13 Tamouz, dates de la libération de mon beau-père, le Rabbi, chef de notre génération. Puisse donc D.ieu faire que chacun se motive pour la Torah, pour les Mitsvot, pour la diffusion du Judaïsme et de ce qui le concerne, auprès de ceux qui sont proches et de ceux qui sont éloignés, dans la joie et l’enthousiasme. Avec mes respects et ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles,
28 Sivan 5724,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 26 Sivan, dans laquelle vous m’interrogez à propos de votre neveu qui souhaite poursuivre ses études, pendant quelques années, à la Yechiva. Vous me demandez s’il pourra ensuite intégrer un kibboutz religieux. Néanmoins, cette question se posera uniquement après qu’il ait passé un certain temps à la Yechiva, se consacrant à l’étude de notre sainte Torah, Torah de vie. Selon les propos de l’Admour Hazaken, dans son saint Tanya, la Torah est définie comme le pain et l’aliment de l’âme. En l’étudiant de la manière qui convient, on l’unifie à l’âme de celui qui se consacre à cette activité, au point de ne former qu’une seule et même entité. Dès lors, elle devient réellement la nourriture de cette âme, vivifiée par la Vie de la vie, par l’En Sof, béni soit-Il, comme l’explique le chapitre 5 du Tanya.
En conséquence, il n’y a pas lieu, à mon sens, de décider dès maintenant ce qu’il fera à l’issue de cette étude. On peut espérer qu’il connaîtra l’élévation, grâce à elle. Il se décidera donc en fonction de la situation qui sera alors la sienne. J’ai bon espoir que vous avez vous-même connaissance des événements des 12 et 13 Tamouz, dates de la libération de mon beau-père, le Rabbi, chef de notre génération. Puisse donc D.ieu faire que chacun se motive pour la Torah, pour les Mitsvot, pour la diffusion du Judaïsme et de ce qui le concerne, auprès de ceux qui sont proches et de ceux qui sont éloignés, dans la joie et l’enthousiasme. Avec mes respects et ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles,