Lettre n° 8853
Par la grâce de D.ieu,
veille des jours de la libération,
12 et 13 Tamouz 5724,
Brooklyn, New York,
A l’attention de monsieur Moché Yaffé(1),
Je vous salue et vous bénis,
Vous avez sûrement reçu la copie du télégramme que j’ai adressé à l’occasion de la pose de la première pierre(2). Je voudrais, plus particulièrement, vous exprimer encore une fois, par la présente, tous mes remerciements pour vos efforts et pour l’aide que vous avez prodiguée jusqu’à maintenant. A n’en pas douter, à l’avenir, vous augmenterez tout cela, conformément à l’enseignement de nos Sages(3) selon lequel on connaît l’élévation dans le domaine de la sainteté. Néanmoins, je connais votre famille et je vous connais, vous-même. Je sais donc qu’il n’y a pas lieu de vous remercier, en la matière. Malgré cela, compte tenu de l’importance de ce qui a été réalisé et de la grande satisfaction que j’en ai conçue, il fallait que je vous signifie clairement les sentiments de mon cœur.
D.ieu fasse que ces jours favorables éveillent en chacun d’entre nous une motivation véritable pour suivre la voie tracée par celui dont nous célébrons la libération, pour poursuivre son œuvre et ses accomplissements, pour maintenir ses saintes institutions, pour renforcer la diffusion de la Torah et de ses Mitsvot dans l’existence quotidienne, d’une manière sans cesse accrue. Votre mérite vous protégera et protégera chacun d’entre nous afin que nous ayons tous une réussite considérable, à la fois matériellement et spirituellement. Avec mes respects et ma bénédiction,
Notes
(1) Voir, à son sujet, la lettre n°8704.
(2) Du Beth Chazar, à Kfar ‘Habad. Voir, à ce propos, les lettres n°8850 et 8851.
(3) Dans le traité Bera’hot 28a.
veille des jours de la libération,
12 et 13 Tamouz 5724,
Brooklyn, New York,
A l’attention de monsieur Moché Yaffé(1),
Je vous salue et vous bénis,
Vous avez sûrement reçu la copie du télégramme que j’ai adressé à l’occasion de la pose de la première pierre(2). Je voudrais, plus particulièrement, vous exprimer encore une fois, par la présente, tous mes remerciements pour vos efforts et pour l’aide que vous avez prodiguée jusqu’à maintenant. A n’en pas douter, à l’avenir, vous augmenterez tout cela, conformément à l’enseignement de nos Sages(3) selon lequel on connaît l’élévation dans le domaine de la sainteté. Néanmoins, je connais votre famille et je vous connais, vous-même. Je sais donc qu’il n’y a pas lieu de vous remercier, en la matière. Malgré cela, compte tenu de l’importance de ce qui a été réalisé et de la grande satisfaction que j’en ai conçue, il fallait que je vous signifie clairement les sentiments de mon cœur.
D.ieu fasse que ces jours favorables éveillent en chacun d’entre nous une motivation véritable pour suivre la voie tracée par celui dont nous célébrons la libération, pour poursuivre son œuvre et ses accomplissements, pour maintenir ses saintes institutions, pour renforcer la diffusion de la Torah et de ses Mitsvot dans l’existence quotidienne, d’une manière sans cesse accrue. Votre mérite vous protégera et protégera chacun d’entre nous afin que nous ayons tous une réussite considérable, à la fois matériellement et spirituellement. Avec mes respects et ma bénédiction,
Notes
(1) Voir, à son sujet, la lettre n°8704.
(2) Du Beth Chazar, à Kfar ‘Habad. Voir, à ce propos, les lettres n°8850 et 8851.
(3) Dans le traité Bera’hot 28a.