Lettre n° 8875
Par la grâce de D.ieu,
21 Mena’hem Av 5724,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai vu les quelques lignes que vous avez notées en marge de la lettre et, bien entendu, j’ai été surpris et peiné par leur conclusion : vous affirmez que vous avez rompu les liens avec Kfar ‘Habad, ce qu’à D.ieu ne plaise. Sans entrer dans l’examen des explications et des justifications d’une telle situation, puisque j’imagine que vous n’auriez pas fait pareille chose sans raison, je dois dire que cette position n’est en aucune façon justifiée.
De manière générale, il est nécessaire d’aimer son prochain et de rapprocher les cœurs, comme l’explique longuement le chapitre 32 du saint Tanya. Mais, a fortiori est-ce le cas de nos jours et en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, surtout pour ceux qui suivent les voies et les usages de l’auteur du Tanya. Or, une telle exigence s’applique, tout autant, à celui qui a raison à cent pour cent. De fait, nos Sages disent(1) que : “ à celui qui sait être conciliant…(2) ”.
Nous approchons d’Elloul, le mois de la miséricorde et il est donc sûrement inutile de développer tout cela. En conséquence, j’attends de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit. Avec mes respects et ma bénédiction pour me donner ces bonnes nouvelles,
Notes
(1) Dans le traité Yoma 23a.
(2) On pardonne les fautes qu’il a commises.
21 Mena’hem Av 5724,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai vu les quelques lignes que vous avez notées en marge de la lettre et, bien entendu, j’ai été surpris et peiné par leur conclusion : vous affirmez que vous avez rompu les liens avec Kfar ‘Habad, ce qu’à D.ieu ne plaise. Sans entrer dans l’examen des explications et des justifications d’une telle situation, puisque j’imagine que vous n’auriez pas fait pareille chose sans raison, je dois dire que cette position n’est en aucune façon justifiée.
De manière générale, il est nécessaire d’aimer son prochain et de rapprocher les cœurs, comme l’explique longuement le chapitre 32 du saint Tanya. Mais, a fortiori est-ce le cas de nos jours et en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, surtout pour ceux qui suivent les voies et les usages de l’auteur du Tanya. Or, une telle exigence s’applique, tout autant, à celui qui a raison à cent pour cent. De fait, nos Sages disent(1) que : “ à celui qui sait être conciliant…(2) ”.
Nous approchons d’Elloul, le mois de la miséricorde et il est donc sûrement inutile de développer tout cela. En conséquence, j’attends de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit. Avec mes respects et ma bénédiction pour me donner ces bonnes nouvelles,
Notes
(1) Dans le traité Yoma 23a.
(2) On pardonne les fautes qu’il a commises.