Lettre n° 8943
Par la grâce de D.ieu,
21 Chevat 5725,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre de la veille du Chabbat, avec votre demande de bénédiction, qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera(1). Vous m’interrogez sur un poste que l’on vous propose dans une Yechiva secondaire. Vous connaissez sûrement les différents avis ayant été émis à ce sujet, des positions opposées, d’une extrême à l’autre. Bien entendu, vous ne devez pas prendre partie, en la matière, puisque de nombreux jeunes gens ayant la crainte de D.ieu s’installent en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, dans la tente de la Torah(2), sans avoir recours à cela, c’est bien évident.
Vous comprendrez que je sois étonné et surpris par le sang-froid avec lequel vous écrivez, dans votre lettre, que vous ne vous préoccupez pas spécialement de diffuser les sources(3). Or, vous connaissez, puisque vous l’utilisez vous-même, cette expression(4) qui figure dans la sainte épître du Baal Chem Tov. Bien plus, le Talmud(5) et le Rambam(6) tranchent qu’un homme doit toujours(7) considérer qu’il se trouve sur une balance en équilibre, que le monde entier se trouve lui-même sur une balance en équilibre(8). Avec ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
C. M. Simpson,
Notes
(1) Voir le Likouteï Si’hot, tome 24, à la page 352 et tome 23, à la page 515.
(2) En se consacrant à son étude.
(3) De la ‘Hassidout à l’extérieur.
(4) “ Diffusion des sources à l’extérieur ”.
(5) Dans le traité Kiddouchin 40b.
(6) Dans ses lois de la Techouva, chapitre 3, au paragraphe 4.
(7) Le Rabbi souligne le mot : “ toujours ”.
(8) Une seule action positive peut donc faire pencher les deux balances du côté du bien.
21 Chevat 5725,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre de la veille du Chabbat, avec votre demande de bénédiction, qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera(1). Vous m’interrogez sur un poste que l’on vous propose dans une Yechiva secondaire. Vous connaissez sûrement les différents avis ayant été émis à ce sujet, des positions opposées, d’une extrême à l’autre. Bien entendu, vous ne devez pas prendre partie, en la matière, puisque de nombreux jeunes gens ayant la crainte de D.ieu s’installent en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, dans la tente de la Torah(2), sans avoir recours à cela, c’est bien évident.
Vous comprendrez que je sois étonné et surpris par le sang-froid avec lequel vous écrivez, dans votre lettre, que vous ne vous préoccupez pas spécialement de diffuser les sources(3). Or, vous connaissez, puisque vous l’utilisez vous-même, cette expression(4) qui figure dans la sainte épître du Baal Chem Tov. Bien plus, le Talmud(5) et le Rambam(6) tranchent qu’un homme doit toujours(7) considérer qu’il se trouve sur une balance en équilibre, que le monde entier se trouve lui-même sur une balance en équilibre(8). Avec ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
C. M. Simpson,
Notes
(1) Voir le Likouteï Si’hot, tome 24, à la page 352 et tome 23, à la page 515.
(2) En se consacrant à son étude.
(3) De la ‘Hassidout à l’extérieur.
(4) “ Diffusion des sources à l’extérieur ”.
(5) Dans le traité Kiddouchin 40b.
(6) Dans ses lois de la Techouva, chapitre 3, au paragraphe 4.
(7) Le Rabbi souligne le mot : “ toujours ”.
(8) Une seule action positive peut donc faire pencher les deux balances du côté du bien.